Pourquoi je soutiens Frédéric SARROUY
sans être sur sa liste

Après trois mandats de conseiller municipal minoritaire (1995-2001, 2001-2008 et 2014-2020) et quatre campagnes électorales (comme tête de liste en 1995, sur la liste menée par Max Hermet en 2001, en soutien de la liste menée par Éric Favard en 2008 et sur la liste qu'il menait en 2014), j'ai décidé qu'à mon âge (j'ai eu 75 ans en juillet dernier), il était temps de laisser la place à de plus jeunes, même si, cette fois-ci, le maire sortant ne se représentant pas, l'élection est plus ouverte et les chances de se retrouver majoritaire plutôt que minoritaire sont plus grandes que les fois précédentes. Je ne serai donc jamais adjoint aux finances ou à autre chose !

Mais ne pas se présenter ne veut pas dire se retirer de la vie municipale active et n'empêche pas de soutenir activement une liste, comme je l'avais déjà fait en 2008 pour la liste menée par Éric Favard. J'ai donc décidé de mettre mon expérience d'élu minoritaire ayant suivi les affaires municipales depuis vingt-cinq ans et maintenu ce site depuis dix-sept ans au service de Frédéric SARROUY et de son équipe pour la campagne en cours (et après s'il le souhaite).

POURQUOI FRÉDÉRIC SARROUY ?

• Parce qu'il est temps de mettre un terme aux trente ans de clientélisme effréné qui ont sévi à Vendargues depuis l'élection en 1989 de Pierre Dudieuzère, qui a géré la commune depuis le premier jour de son premier mandat, non pas dans le souci du bien commun, du bien-être de tous les Vendarguois et d'une utilisation économe de leur argent, mais dans celui de ses réélections successives, de la préservation de son emploi (puisqu'en « professionnel de la politique » ne vivant que de ses mandats électifs, il se serait retrouvé au chômage s'il n'avait pas été réélu) et du bien-être des promoteurs immobiliers (d'un en particulier), ne se souciant du bien-être des Vendarguois que pour autant qu'il avait besoin de leurs voix et pour autant qu'ils la lui accordaient (ou au moins qu'il pouvait penser que c'était le cas).

• Parce qu'on ne peut compter sur des « Dudieuzère's boys », formés à l'école de leur maître, pour changer les choses. Or Guy LAURET et Lionel ESPÉROU sont tous deux des « Dudieuzère's boys » : ils ont tous deux été élus pour la première fois sur la liste menée par Pierre Dudieuzère en 2001 et Guy LAURET avait déjà auparavant été embauché par Pierre Dudieuzère au service du protocole pour servir les pastis (poste dont il a dû démissionner une fois élu). Ce dont a besoin Vendargues, ce n'est pas du « changement dans la continuité », mais du changement tout court, avec une équipe complètement renouvelée, seule capable de mettre un terme au clientélisme et au règne des promoteurs sur la commune.

• Parce que Frédéric SARROUY a toutes les qualités requises pour constituer et mener une telle équipe. Il est intègre et honnête. Sa carrière professionnelle (cadre au centre Leclerc de Saint-Aunès, responsable de tout le non-alimentaire) témoigne de ses qualités de management d'équipe. Son engagement depuis toujours dans de nombreuses associations vendarguoises (il est natif de Vendargues) et les postes de président qu'il a eus dans plusieurs d'entre elles au fil des ans depuis de nombreuses années témoignent de son engagement dans la vie de sa commune et, là encore, de ses aptitudes à animer des équipes. Le fait qu'il ait su à chaque fois ne pas s'incruster et laisser la place à d'autres au bout de quelques années permet de penser qu'il ne s'accrochera pas pendant trente ans, tel une huitre à son rocher, à son poste de maire s'il est élu et le fait qu'il entende conserver à temps partiel son activité professionnelle renforce encore cette conviction, puisque, dans ces conditions, il ne se retrouverait pas au chômage s'il perdait son mandat de maire. En outre, ce partage d'activité garantirait que c'est bien, non pas une seule personne (le maire) qui gérerait la commune, mais une équipe, riche de multiples compétences et expériences complémentaires et d'une plus grande disponibilité : une personne seule n'a que 24 heures par jour à mettre au service de sa commune (et encore, car il faut bien dormir un peu), alors qu'une équipe de plus de vingt personnes peut, sans que chacun soit obligé de consacrer 24h/24 à son travail, mettre à disposition de la commune largement plus de 24 heures par jour).

• Parce que Frédéric SARROUY a compris qu'une commune comme Vendargues, de par sa situation géographique et l'organisation du monde d'aujourd'hui, n'est rien toute seule, et qu'elle n'est ce qu'elle est, ou plutôt qu'elle ne sera ce qu'elle devrait être, que dans le cadre de la métropole dont ellle est une partie et en tissant des liens avec les communes voisines au lieu de vouloir tout faire tout seul pour pouvoir s'attribuer le mérite (électoral) de réalisations communales parfois redondantes avec des équipements qui pourraient être mutualisés entre communes pour une meilleure utilisation des deniers publics, et, dans cette perspective, il sera en mesure de renouer les liens avec la métropole que Pierre Dudieuzère a rompus, ce que ne sera pas en mesure de faire le successeur désigné par lui et formé à son école.

Il est temps de redonner sa chance à Vendargues au sein de Montpellier Méditerranée Métropole en apportant du sang neuf, une autre culture et une autre conception de la vie municipale et de la fonction de maire, et seul Frédéric SARROUY et son équipe sont en mesure de faire ça.