Enregistrement fait par les soins du maire en vue du procès-verbal et transcrit par le personnel municipal (voir à ce sujet la remarque du maire lors de l'approbation du procès-verbal précédent). Reproduction intégrale de la transcription transmise par le maire à tous les conseillers municipaux au début de la séance du conseil municipal du 19 décembre 2002. Texte reproduit avec la présentation et la ponctuation du document original. Les changements d'interlocuteur évidents mais manquant dans le texte transmis, sont ajoutés entre crochets.
Procès-verbal validé en l'état lors de la séance du conseil municipal du 18 février 2003.
Présents :
M. DUDIEUZERE, M. GALTIER, Mme GARCIA, M. PONS, Mme PINEL, Mme NAVARRO, M. AVELINE, M. BERETTI, M. SEGUIN, Mme AUDRAN, M. MALANDAIN, Mme VEILLON, Mme GROLIER, M. LAURET, Mme HERVE, M. COMBETTES, Mme SALLES, M. CLARET (à partir de la question n° 7), Mme GONNET-MARTY, M. ESPEROU, Mme OUFFE, M. VASSALLO, M. HERMET, Mme EDOUARD, M. SUZANNE
Représentés :
Mme RUIZ : pouvoir à M. DUDIEUZERE ; Mme BONNET : pouvoir à M. LAURET ; M. TORRENT : pouvoir à Mme ÉDOUARD ; Mme BEYAERT : pouvoir à M. HERMET
Absents ou excusés :
M. CLARET (jusqu'à la question n° 6)
Monsieur le Maire demande à l'assistance d'observer une minute de silence pour les sinistrés du Gard et de l'Hérault.
M. le Maire : « Si vous êtes d'accord
je propose que l'on vote une subvention, après on verra comme on la répartit
si on la répartit par rapport à la Croix Rouge, on peut faire
une moitié Sommières et une moitié sinistrés de
l'Hérault, qu'est ce que l'on donne ? D'abord est ce que vous êtes
d'accord et qu'est ce que l'on donne ? »
M. SUZANNE : « Mairie ou CCAS ? »
M. le Maire : « On peut la donner
avec le CCAS »
Mme NAVARRO : « D'abord on mobilise la population
par le don de chèques, de vêtements puis lors de la prochaine commission
de voir un peu plus en profondeur et d'apporter une aide, car dans un mois ils
auront toujours besoin d'argent, voilà un petit peu ce que je pensais
pour le CCAS, cela ne nous empêche pas de voter la subvention et de voir
après ce que l'on pourra faire. »
M. le Maire : « On va voter une subvention
mairie. En sachant que les choses se complètent puisque la caisse est
la même. »
M. SUZANNE : « Il me semble qu'il
y a deux, trois ans M. COT qui était alors le responsable nous avait
expliqué qu'il gardait une caisse noire pour faire face à ce genre
de situation. »
M. le Maire : « Il n'a jamais dit qu'il y avait
une caisse noire, il a dit qu'il y avait une trésorerie, attendez, d'abord
ne faites pas parler les morts, surtout dans des termes qui ne sont pas normaux,
donc il avait, il appelait ça un matelas, il gardait toujours, il avait
toujours dans le budget, alors même c'était pire que ça
il y avait 200 000 F à l'époque et c'était un
des débats que l'on avait parce que l'on disait ça ne sert à
rien ».
M. SUZANNE : « Et ils y sont toujours ? »
M. le Maire : « II avait certainement
raison voilà »
M. SUZANNE : « Ils y sont toujours ? »
M. le Maire : « Je ne sais pas »
Mme NAVARRO : « Comment ? »
M. le Maire : « Non, je crois que
non »
M. SUZANNE : « Le matelas il y est toujours ?
Les 200 000 F »
M. le Maire : « Alors l'extraordinaire
d'Alain c'est qu'il a remis les chèques un samedi ou un dimanche et puis
le vendredi d'après il est parti. La dernière photo que l'on a
de lui c'est ça.
Voilà combien on met ? on met 30 000 ? 50 000 ?
Je parle en francs »
M. SUZANNE : « Et on les a au budget ? »
M. le Maire : « oui oui on les trouvera, bon
c'est d'accord pas d'autres interventions ? Alors on met 30 000 »
M. SUZANNE : « 30 000 ça fait 4 500
euros»
M. le maire : « Voilà »
M. SUZANNE : « Il vaut mieux parler en euros
sinon ça va faire... »
M. le Maire : « Oui mais moi je donne des explications
parce que je n'ai pas encore fait le, vous savez je suis un petit cerveau et
voilà déjà pour converti en ancien francs !... Bon
on va le verser, c'est Jean SEGUIN qui décidera avec Cécile VEILLON.
Alors moi, je fais une demande particulière pour Sommières car
j'ai rencontré hier le M. le Maire de Sommières qui est un ami,
et qui m'a dit les gens sont dans le besoin, il y a des villes qui sont plus
riches, vous avez Lunel. Par exemple, quand il y a eu les inondations à
NÎMES, J.BOUSQUET ne m'a jamais dit il faut de l'argent pour la population,
là, il y a la demande. Sommières est une ville pauvre. Il y a
des maisons, l'eau est arrivée... jusqu'à mon bureau là
haut, il y a le Supermarché, ils sont en train de le démonter.
Dans le marché l'eau est aux trois quart des platanes c'est impressionnant.
Cette question est votée à l'unanimité. »
Adoption de l'ordre du jour : Alors je vous propose un ordre du jour non modifié là de 18 questions
(Pour aller directement à la partie du PV concernant une question qui vous intéresse, cliquez sur le numéro de cette question dans la colonne « Question n° » du tableau ci-dessous)
Question n° | Objet |
1. | Adoption de l'Ordre du Jour |
2. | Adoption du procès verbal n° 05/2002 |
3. | Décisions municipales |
4. | Rapport annuel sur le prix et la qualité de l'Eau - S.I.A.E.P.du Salaison |
5. | Rapport annuel sur le prix et la qualité du service public d'élimination des déchets |
6. | Rapport annuel de gestion de FDI HABITAT pour l'année 2001 |
7. | Avenant n° 5 au marché public Groupe Scolaire Andrée COSSO |
8. | Retrait de la commune de VENDARGUES du SIVU du collège « les pins » de CASTRIES |
9. | Acquisition de la parcelle BE 102 de 1403 m² sise Plaine de Bannières à VENDARGUES - Affectation au Domaine Public Communal |
10. | Recrutement d'un Agent dans le cadre d'un Contrat Emploi Solidarité |
11. | Modification du tableau des effectifs • Création de nouveaux emplois permanents • Définition des emplois non titulaires |
12. | Régie de recettes de la commune tickets de cantine restaurant scolaire |
13. | Convention de vente de titres de transports en commun |
14. | Participation de la commune au C.C.A.S. pour 2002 |
15. | Convention financière entre la commune de VENDARGUES et le Comité des Festivités |
16. | Convention d'utilisation des locaux et des moyens entre la commune de VENDARGUES et les associations |
17. | Participation au Comité des Œuvres Sociales (COS 34) pour 2002 |
18. | Règlement intérieur du Conseil Municipal - Plan de table |
(Le vote de la subvention à Sommières, qui a eu lieu avant l'adoption de l'ordre du jour, n'a pas été listé dans cet ordre du jour ; de plus, une question écrite de M. HERMET, rappelée par M. HERMET entre les points 3 et 4, et qui sera traitée en question 19, n'apparaît pas non plus dans cette liste)
Donc si il y a des remarques, pas de remarques donc à l'unanimité adopté.
Adoption du Procès Verbal de la dernière
séance : Est-ce qu'il y a des observations et si oui
lesquelles ? »
M. HERMET : « oui il y a des observations.
J'ai porté par écrit 2 questions orales auxquelles vous m'avez
répondu sans problème, par contre, il n'y a absolument aucune
frappe de ces réponses, ou du moins elles sont plus que succinctes. »
M. le Maire : « Alors attendez, parce qu'il
manque une page »
M. HERMET : « non non non, on les a toutes »
M. le Maire : « Oui mais c'est un P.V. hein,
parce qu'il manque une page donc on l'a rajoutée....... de toute manière
si ça n'y est pas on prendra en compte...
Lecture du procès verbal - page 2/8..... mais attendez, mais tout y est ».
M. HERMET : « Non, c'est pas sur cette question
(...) c'est sur le terrain LEPINASSE - vous aviez évoqué une convention
avec le Département.. »
M. le Maire : « Ah ! c'est celle là
qui n'y est pas - mais elle y est pas du tout celle-là, mais ça
a sauté ça »
M. SUZANNE : « Si, elle y est - on n'a pas la même
chose, alors ; dans ce qu'on a, vous faites l'historique mais on ne dit
pas les raisons pour lesquelles ce terrain ne peut être vendu. »
M. HERMET :« Est ce que vous avez répondu
(......) que vous n'accepteriez jamais qu'il y ait des constructions sauvages
(......) »
M. le Maire : « J'ai pas dit de constructions
sauvages... Puis des constructions sauvages ça n'existe pas »
M. HERMET : « Si, malheureusement ça
existe »
M. le Maire : « Alors justement,
c'est pour tout ça qu'on enregistre, Monsieur Bèzes avait l'habitude
de faire des comptes rendus succincts, et maintenant on va faire des comptes
rendus mot à mot sur enregistrement donc vous aurez la prochaine fois
quinze pages, et on discutera, voilà - maintenant si vous voulez on rajoute,
mais je me rappelle plus ce j'ai dit moi ».
M. HERMET : « Vous avez oublié une convention
passée entre la commune et le Département dans la mesure où
le Département acceptait de doubler la route au Nord du Bois, la commune
prenait l'engagement de.......... »
M. le Maire : « ah mais c'est pas une convention,
..il y a des courriers là dessus »
M. HERMET : « Oui, mais je voulais que ça
apparaisse »
[M. le Maire :] Ben on le rajoutera. - Il n'y a rien d'autre
- donc qui vote contre, qui s'abstient, - adopté. »
Donc décisions municipales : alors j'ai pris quelques
décisions selon les pouvoirs qui me sont donnés - la loi je m'en
rappelle pas »
- n°07/2002 - Reconduction du bail avec la « Brasserie des
sports » pour 144,27 €
- n°09/2002 - Reconduction du bail avec l'établissement « Le
Potager » pour 91,60 €
- n°10/2002 - Reconduction du bail avec la manade LOPEZ pour 76,22 €
M. SUZANNE : « Pourquoi on passe de la décision
7 à la 9 et pas à la 8 ? »
M. le Maire : « Parce que la 8..... je vous
expliquerai après »
M. HERMET : « la 11 c'est pareil ? »
M. le Maire : « Parce que c'est pas prêt
- je passe les décisions que j'ai prises, celles qui n'y sont pas, on
les passera la prochaine fois.
Décision n° 12/2002 - Convention de location d'un tracteur agricole
à titre gratuit avec Monsieur GALTIER, pour les services techniques »
M. GALTIER : « Le technique avait besoin d'un tracteur, je leur
prête le mien car c'est un tracteur qui me sert pas - je leur mets à
disposition gratuitement - donc c'est une convention qu'on passe pour qu'il
soit assuré - pour que les employés puissent le prendre sans risque,
voilà. Je le prête gratuitement, il y a pas de...... »
M. le Maire : « Décision n° 13/2002
- Désignation de Maître M. PONS, Avocat, devant le Tribunal Administratif
de Montpellier »
M. SUZANNE : « Vous pouvez me dire au titre
de quel point précis de la délibération à laquelle
vous faites référence vous prenez cette décision ?
Ca rentre pas plus que les autres dans le...... »
M. le Maire : « Ça c'est vous qui le
dites »
M. SUZANNE : « Non c'est pas moi qui le dit,
c'est ce qui est écrit, et c'est ce que dit la loi (............) »
M. le Maire : La loi me permet de prendre ces décisions
et de pouvoir commander et de payer un Avocat pour défendre la commune.
Voilà je crois que vous l'avez mise au T.A..... donc je vous remercie
d'en prendre acte. »
Rapport annuel sur le prix et la qualité de l'Eau S.I.A.E.P.du Salaison : Monsieur Guy LAURET :
M. HERMET : « Deux secondes - au niveau des
décisions tout de même, je crois que par rapport à celles
qui sont passées pratiquement les mêmes l'an dernier, il en manque
une ? »
M. le Maire : « Il en manque une hein, oui
oui, il manque celle de Monsieur CHAPTAL - donc que j'ai pas prise pour l'instant
parce que j'ai un contentieux avec Monsieur CHAPTAL, et je lui ai écrit
une lettre parce qu'il se permet de faire ses apéritifs..... de barrer
sans autorisation la rue du général Berthézène à
hauteur de chez Noëlle SENAUX jusque là au rond point, donc le lendemain
matin j'ai eu beaucoup de plaintes, j'ai des commerçants riverains qui
se sont plaints - ça a été fermé dans la matinée
- notamment le boulanger, quand il a ouvert son commerce, il y avait des tables,
des chaises, des bouteilles de pastis un peu de tout, donc je lui ai fait une
lettre, tant qu'il répondra pas à cette lettre, je signerai pas
la convention, et puis c'est pas obligatoire, ce sont des décisions -
j'en parlerai à mes collègues, et on verra ce qu'on fait - voilà ».
M. HERMET : « Êtes-vous bien certain
que c'est le cafetier qui a fermé la rue, ou est ce que ce sont pas d'autres
commerçants qui l'ont fermée ? »
M. le Maire : « Que ce soit le cafetier ou
pas le cafetier qui ait fermé la rue, c'est son commerce, il servait
du pastis qui sortait de son commerce, et donc à mon avis c'est lui le
responsable quand on a un commerce on fait attention à son devant de
porte quand même - voilà. »
M. HERMET : « Vous pouvez pas empêcher
les clients de sortir leur verre à la main »
M. le Maire : « Non - on peut rien empêcher...
Enfin voilà, ça se discute. »
M. HERMET : « Vous avez fait un courrier à
Guy Chaptal et vous attendez la réponse ? D'accord. »
M. le Maire : « Alors - Rapport
annuel sur le prix et qualité de l'eau, Guy LAURET :
M. HERMET : « Une
seconde, Monsieur le Maire, je vous ai envoyé dans les délais
réglementaires une question par écrit, ... »
M. le Maire : « Vous avez raison : Alors
sur l'ordre du jour, il faut rajouter la question écrite de Monsieur
M. HERMET »
LAURET : « le conseil municipal prend connaissance
du rapport annuel du service d'élimination des déchets, pardon,
....... le conseil Le conseil municipal prend connaissance du rapport annuel
sur le prix et la qualité de l'Eau - Syndicat Intercommunal d'Adduction
Eau Potable du Salaison pour 2001, en application de l'article L 2224-5
du Code Général des Collectivités Territoriales.
Le rapport est publié par le S.I.A.E. et mis à la disposition
du public en MAIRIE de VENDARGUES, selon les dispositions de l'article L 1411-13
du Code Général des Collectivités Territoriales.
Voilà, donc le rapport est à l'accueil, là bas, maintenant
pour vous dire quelques mots, ce syndicat distribue l'eau potable à quatre
communes : Jacou - Le Crès - Saint-Géniès et Vendargues
il faut savoir qu'il distribue à peu près deux millions de m3
d'eau, il en achète à plusieurs fournisseurs, il en achète
un million de m3 à MONTPELLIER à la source du Lez, il en achète
aussi 400 m3 à BRL et au niveau du Parc Robert, la station de pompage
du Parc Robert, il en pompe 600 000 m3 de plus et il faut savoir que Vendargues
en utilise 622 000, donc le nombre de clients de ce syndicat est de 5.135,
et en gros donc voilà, il y a des analyses qui sont faites, et vous trouverez
après tout le détail dans le.... »
M. SUZANNE : « C'est l'alimentation en eau
potable de Vendargues, ça ou uniquement de la zone ? »
LAURET « Non, non c'est au niveau du SIAE, c'est
tout le syndicat, c'est les comptes du syndicat, mais aussi il y a la zone et
Vendargues »
M. SUZANNE : « Les factures qu'on reçoit,
c'est la C.G.E. ? »
LAURET : « Oui mais la c'est la distribution
d'eau »
M. SUZANNE : « Ah, c'est ça - c'est
ce pourquoi on avait récemment voté, pour régulariser une
situation de fait de plusieurs années... »
M. le Maire : « Non mais la C.G.E. est délégataire
du service public - donc c'est normal que ce soient les factures..... Alors
on a adhéré à ce syndicat il y a un an ou deux, .. »
M. SUZANNE : « Oui, c'est ça, on a régularisé
une situation que vous nous aviez expliquée.... »
M. le Maire : « On a été solidaires
des communes voisines, donc c'est un rapport, ... il y a un tas de rapports
aujourd'hui, qu'il faut passer dans chaque commune, et voilà. Bon Guy,
je te remercie de ton intervention, donc il y a des questions, non ? Qui
est contre, qui s'abstient, - Adopté.
Alors je voudrais revenir juste sur l'ordre du jour, je reprends un peu ce que
j'ai dit, il n'y a pas dix huit questions, il y en a: dix neuf - c'est pour
l'enregistrement, hein. »
M. SUZANNE : « Il y en a même vingt,
vous en avez rajouté une au début, qui était le vote de...... »
M. le Maire : « Oui, ça fait vingt,
bon... Alors, Rapport annuel sur le prix et la qualité
du service public d'élimination des déchets - Guy PONS »
M. PONS : « Le conseil municipal prend connaissance
du rapport public du service d'élimination des déchets ménagers
de la Communauté d'Agglomération pour l'année 2001, qui
a été mis à la disposition du public selon les dispositions
du décret 2000-404 du 11 mai 2000.
M. le Maire : « Voilà, c'est la même
chose, donc... »
M. HERMET : « Ah, c'est la décharge
du Thôt ? »
M. le Maire : « Oui »
M. SUZANNE : « Pour l'instant »
M. le Maire : « Comment ? »
M. SUZANNE : « Je dis : Pour l'instant
- il faudrait peut être trouver une autre solution »
M. le Maire : « les questions sur la mise en
décharge des déchets ménagers, et l'enlèvement des
déchets ménagers, ce doit être, je l'avais dit quand l'Agglo
s'est faite, ce doit être le souci majeur et premier de la communauté
d'agglo, donc de toutes les communes qui y participent dans les cinq années
qui arrivent, donc je crois qu'on a une autorisation qui est valable encore
pour une année, qui est liée à des nombres de mètres,
donc pour l'instant on est au Thôt, on cherche des solutions et l'Agglo
cherche des solutions, à mon avis, d'après ce qu'a dit, .... On
a eu une réunion avec le Président du bureau lundi soir, on s'orienterait
vers cinq ou six sites, il y en a un qui........
Défaut d'enregistrement (la fin de séance est enregistrée par dessus)
.............
Avenant n°5 au marché public Groupe Scolaire
Andrée COSSO
Mme PINEL : « Il est rappelé au conseil, le
marché public du Groupe Scolaire Andrée COSSO, autorisé
par délibération en date du 27 juin 2000, et commission d'appel
d'offres du 10 octobre 2000, signé le 14 novembre 2000.
CONSIDÉRANT que des variations (plus ou moins values) liées à
des travaux nécessaires et inhérents à la vie d'un chantier ;
APRÈS AVIS de la commission d'appel d'offres du 11 septembre 2002 ;
CONSIDÉRANT que la variation économique est inférieure
à 5 % du montant initial du marché ;
VU l'état annexé à la présente, récapitulant
le suivi financier du marché (doc 0218 suivi marché GS COSSO) ;
Il est proposé au conseil d'adopter l'avenant n° 5 comme suivant,
et d'autoriser Monsieur le Maire ou l'adjoint délégué,
à signer tout document relatif à cette affaire.
Initial | modifé | |||
|
972 873,64 € | 972 873,64 € | ||
|
1 163 556,87 € | 1 163 556,87 € | ||
|
723 355,39 € | 738 683,76 € | ||
|
865 133,05 € | 883 465,78 € | ||
|
1 696 229,03 € | 1 711 557,40 € | ||
|
2 028 689,92 € | 2 047 022,65 € |
M. le Maire : « Alors il y a une erreur d'un
euro, donc c'est pas 78, euh, un centime d'euro, c'est 79. »
M. le Maire : « O.K., merci, donc normalement
quand il y a des avenants qui passent les 5%, il faut les passer en commission
d'appel d'offres, il y en avait pour 2,71 %, donc je l'ai quand même
fait passer en commission d'appel d'offres qui a entériné cet
avenant...
Alors l'école COSSO est terminée, elle est magnifique, les enseignants
y sont bien, les élèves aussi, ça agrémente bien
le quartier, ça fait un beau bâtiment, moi je voudrais féliciter
tout le monde, ceux qui s'en sont, ... comme Guy ou Martine qui s'en sont occupés,
parce que c'est comme tous les chantiers, c'est toujours compliqué, il
y a beaucoup de choses, il y a beaucoup de disputes, d'énervements, et
de retard, mais, l'école est magnifique et je crois qu'à la fin,
il faut regarder la fin. Alors il manque quelques arbres dans la cour, parce
que la première fois qu'on avait fait les premières réunions
avec les enseignants, à l'époque c'est Madame COSSO qui s'en était
occupée, ils n'avaient pas voulu d'arbres - maintenant les enseignants
sont un peu plus jeunes, et ils sont plus pour les arbres, donc on va en faire
planter, je suis allé repérer des platanes là bas chez
MULLER derrière le Petit Paradis, qui sont magnifiques, ce sont des platanes
qui ont servi pour faire (......) à côté du tramway, et
on va planter ça, mais à l'automne. Donc je vous le dis, parce
que ce sera pris sur le budget, enfin on verra où on le prend soit sur
le budget Ecole - soit sur le budget Espaces Verts. Mais ça fait une
très belle école. Donc on verra la deuxième tranche si
on l'inaugure ou pas, alors bien sûr cette école est en attente
aussi de la fin du lotissement qui va se faire - voilà, est ce qu'il
y a des questions ? »
M. SUZANNE : « Il y a combien d'élèves
actuellement dans cette école ? »
Mme PINEL : « Cent cinquante enfants. »
M. SUZANNE : « Sur six classes ? »
Mme PINEL : « Oui. »
M.SUZANNE : « Donc les classes sont pleines ? »
Mme PINEL : « Oui, tout est plein. »
M. SUZANNE : « Donc heureusement qu'on n'a
pas fait ce qu'il y avait de prévu à côté, parce
qu'il aurait fallu construire une autre école »
M. le Maire :« Il faut le temps de construire,
et puis les enfants ils restent pas jusqu'à vingt cinq ans - Alors c'est
vrai qu'on a eu dans ce lotissement, il faut savoir que dans ce nouveau lotissement,
enfin le dernier qu'on a fait puisque l'autre on l'a pas attaqué, il
a mis quand même un peu plus de dix ans pour se faire donc, on l'avait
dit, j'avais dit au cours d'une séance qu'on donnerait entre quinze et
vingt permis par an, pour justement pouvoir digérer tout ça, donc
elle sera bien là, et elle est faite pour accueillir ce nouveau lotissement.
Voilà - est ce qu'il y a d'autres.... »
M. SUZANNE : « Si les effectifs actuels saturent
les écoles, ça veut dire qu'on est......
M. le Maire : « Attendez, les gens qui ont
trois enfants ils vont pas en faire sept ou huit....
Mme PINEL : « On a de la place dans les autres
écoles »
M. SUZANNE : « Elles sont vides ? »
Mme PINEL : « Non, elles sont pas vides »
M. le Maire : « Non, mais ça bascule,
mais il le sait va... vous allez trouver des arguments - Ce qu'il y a de sûr,
c'est que dans une école on n'y met pas des poissons - Voilà,
il y a d'autres questions ? Qui est contre, qui s'abstient ? Adopté
- Merci
Retrait du SIVU du collège les Pins de Castries
- Anne GONNET MARTY :
Mme GONNET-MARTY : « Pour faire suite à
la demande de Monsieur le Président du SIVU du collège « les
pins » de Castries (Hôtel de ville 34160 CASTRIES) ;
CONSIDÉRANT que les aléas de la carte scolaire ont conduit la
commune de VENDARGUES à voir scolariser les enfants relevant des établissements
publics d'enseignement secondaire dans plusieurs structures intercommunales
successives ;
CONSIDÉRANT qu'aucun élève de VENDARGUES n'est scolarisé
dans cet établissement ;
Le conseil municipal sollicite le retrait de la commune de VENDARGUES du SIVU
du C.E.S.les Pins de CASTRIES.
La présente sera signifiée à Monsieur le Président
du SIVU, pour suite à donner par lui, dans cette affaire. »
M. le Maire : « Merci - voilà est ce
qu'il y a des questions ? Qui est contre, qui s'abstient ? Adopté.
Acquisition Parcelle BE 102 - Bernard GALTIER, premier
adjoint
M. GALTIER : « Il est proposé au conseil municipal
d'acquérir une parcelle de terrain en garrigue (landes) sise Plaine de
Bannières à VENDARGUES, d'une contenance de 1403 m², pour
un prix de base H.T., de 2.286,74 € cadastrée section BE 102.
Monsieur le Maire ou l'adjoint délégué, sera autorisé
à signer tout acte relatif à cette affaire.
Les sommes correspondantes (prix principal et honoraires SAFER et notaire calculés
en sus) sont inscrites au Budget - Chapitre 21.
Le bien acquis sera affecté au Domaine Public Communal. »
M. le Maire : « Voilà, donc c'est une
parcelle qui, pour ceux qui connaissent, d'abord où est Bannières,
c'est la parcelle qui touche Monsieur GROLIER - donc j'ai entendu dire qu'il
y avait quelqu'un de l'extérieur qui voulait l'acheter, la SAFER, non
d'abord quelqu'un de Vendargues voulait l'acheter, et la SAFER a dit je préempte,
ils voulaient y mettre, ils avaient quelqu'un qui pouvait être viticulteur
ou agriculteur de l'extérieur, donc je demande de le préempter,
parce que il faut que ça reste là, et puis le gars il peut pas
être agriculteur ou viticulteur là bas, parce que d'abord c'est
petit comme parcelle, et deuxièmement il y a que des cailloux. voilà,
donc on va le prendre pour les chasseurs. »
M. HERMET : « A qui elle appartient ? »
M. le Maire : « .........Je vais vous donner
le nom-......... REYBAUD Claude »
M. SUZANNE : « Et pourquoi elle a été
achetée par la SAFER ? »
M. le Maire : « Non, elle a pas été
achetée, elle a été préemptée, nous on préempte,
enfin on achète en accord avec la SAFER. Non, moi je m'en suis aperçu
parce que la DIA est là, donc je me suis renseigné, parce que
la DIA est au nom de la SAFER......... voilà, donc on l'a faite estimer
par les Domaines - on l'a faite au prix de la SAFER »
M. SUZANNE : « Qu'est ce qu'on va en faire ? »
M. le Maire : « On va la donner aux chasseurs,
enfin, aux chasseurs, aux promeneurs,.... »
M. SUZANNE : « Si les terrains voisins appartiennent,
euh... sont des terrains privés, qu'est ce qu'on peut faire avec 1200
m²....
M. le Maire : « Non mais c'est pas enclavé
il faudra faire visiter à Monsieur M. SUZANNE la Plaine de Bannières,
......... Voilà, il y a pas d'autres questions ? Donc qui est contre,
qui s'abstient ? Adopté - Merci.
RECRUTEMENT D'UN AGENT CES - Monsieur VASSALLO
VASSALLO : « Il est proposé au conseil municipal
d'autoriser Monsieur le Maire ou l'adjoint délégué au personnel
de recruter un agent dans le cadre d'une convention Contrat Emploi Solidarité,
en qualité d'aide aux Services Techniques de la commune.
Les dépenses sont inscrites au Budget, Chapitre 012. »
M. le Maire : « Voilà, on a une demande
de quelqu'un qui accepterait de rentrer comme CES, qu'on affecterait au balayage
des rues des lotissements, avec une poussette ou un clarck - Alors on crée
le poste, si vous en êtes d'accord, mais on n'est pas sûrs de l'avoir,
parce que, d'après ce qu'on sait, depuis une quinzaine de jours, le gouvernement
RAFFARIN a bloqué toutes les autorisations de CES, parce qu'ils veulent
faire un état des lieux. Ils veulent savoir où ils en sont, combien
il y en a, qu'est ce que ça va devenir etc. Donc à mon avis, les
deux derniers qu'on a eus, on les a eus à huit jours près, donc
on a une demande, on la dépose que si jamais ça se débloque,
on pourra le mettre parce qu'on aura bloqué le poste. »
M. HERMET : « Vous avez une demande de qui ? »
M. le Maire : « Comment il s'appelle le gars ?
... »
M. SUZANNE : « On crée les postes parce
que les gens le demandent, ou on crée les postes parce qu'on en a besoin ? »
M. le Maire : « Non, on a une demande, ...... »
M. PONS : « ...et on en a besoin »
M. le Maire : « Et on en a besoin, voilà,
alors, c'est Monsieur, ....mais normalement quand on crée un poste on
donne pas de nom, donc je le donnerai hors séance si vous le voulez. »
M. HERMET : « Non, mais c'est pas le problème,
non mais je veux dire, il faut pas créer parce que les gens le demandent
créer le poste,... c'est pas légal »
M. le Maire : « Non .... »
M. PONS : « On a un balayeur poussettiste sur
le coeur du village et on va en prendre un autre »
M. HERMET : « D'accord.... »
M. le Maire : « Voilà, on n'a pas voté,
non, donc qui est contre, qui s'abstient ? Adopté.
Modificatif tableau des effectifs : Gérard AVELINE »
AVELINE : « En application de l'article 34
de la loi du 26 janvier 1984, il appartient au conseil municipal de fixer l'effectif
des emplois à temps complet ou non complet nécessaires au fonctionnement
des services.
CONSIDÉRANT que l'évolution de la commune et de la réglementation
en vigueur, notamment celle liée à l'aménagement et à
la réduction du temps de travail, crée des besoins en emplois
tant permanents que saisonniers, occasionnels ou de remplacement ;
CONSIDÉRANT que certains emplois, notamment liés au fonctionnement
des écoles et des structures y afférentes nécessitent l'annualisation
du temps de travail ;
Il est proposé :
• La création des emplois permanents suivants :
Cadre et références juridiques | Catégorie - IB début /fin | Effectifs budgétaires | Taux d'emploi : Temps complet = 100% Temps non complet<100% |
||||||||||||||||||||||||||||||
Agent d'animation décret 31/05/1997 |
C 245/343 |
|
|
||||||||||||||||||||||||||||||
Agent d'entretien décret 06/05/1988 |
C 245/343 |
|
|
||||||||||||||||||||||||||||||
Agent Administratif décret 30/12/1987 |
C 245/343 |
|
|
||||||||||||||||||||||||||||||
Educateur des APS décret 10/01/1995 |
B 298/544 |
|
|
• La création des emplois non titulaires (saisonniers, occasionnels, remplacements selon besoins du services) suivants :
Cadre et références juridiques | Catégorie Rémunération par rapport à IB |
Effectifs budgétaires maxi |
Taux d'emploi maxi |
Agents administratifs d'entretien d'animation art. 3 Loi 26/01/1984 |
C 245/343 |
10 | 80 % sauf remplacements |
Les crédits sont inscrits au Budget - Chapitre 012 (salaires et charges)
Monsieur le Maire ou l'adjoint délégué au personnel, sont
autorisés à signer tout document relatif à cette affaire.
Il y a eu maldonne sur le nombre d'agents administratifs emplois permanents :
ce n'est pas 2 mais 3, parce que le poste avait déjà été
créé, et c'est simplement une modification sur le temps horaire
- de 29 heures à 35 heures - donc 2 à 100 % Temps complet.
M. SUZANNE : « Les effectifs budgétaires, ça se comprend en équivalent temps plein, ...... »
Le maire donne la parole à M. ROLLAND pour répondre aux questions.
Thierry ROLLAND : « Les effectifs budgétaires
ça se compte en équivalent temps plein, cela étant dit,
là dessus c'est un nombre de postes ; parce que lorsque l'on recrute
des saisonniers, le besoin on le définit pas aujourd'hui pour demain,
c'est des variations saisonnières, lorsqu'on remplace un agent on sait
pas à priori sur la centaine d'agents de la commune, qui va être
absent, donc on cadre, on a une possibilité budgétaire de dix,
et la dedans, lorsqu'on met quelqu'un pour un remplacement ou un saisonnier,
on le défalque, et lorsqu'il a fini, on remet en place, mais on fait
biens sûr la soustraction budgétaire à part »
M. SUZANNE : « Mais là, par exemple,
quand vous dites 19 agents d'entretien, il y en a 6 à 100 %, 5 à
80, 3 à 75, 5 à 50, 19 c'est la somme de 6 + 5 + 3 + 5, c'est
pas multiplié par les pourcentages ?... »
Thierry ROLLAND : « Non, non non... là
dessus, c'est... excusez-moi je répondais pour les non titulaires ;
pour les titulaires, on doit créer le poste, le conseil municipal doit
créer l'emploi en précisant le taux d'emploi, donc c'est pour
ça qu'on doit le distinguer - budgétairement c'est prévu
à hauteur du taux d'emploi ; voilà, et s'il y a une modification,
ça doit repasser en conseil - voilà. Donc on ne crée pas
19 emploi à taux plein, sur lesquels on peut nommer quelqu'un à
temps partiel, en revanche, quelqu'un qui est à temps complet peut passer
à temps partiel mais à sa demande. »
M. HERMET : « Est-ce que ça va vous
permettre de lisser la rémunération du personnel qui sont pas
à temps complet ? »
M. le Maire :« Ca dépend du pourcentage
par rapport aux 35 heures »
M. HERMET : « Non, je parle de lissage de la
rémunération annuelle... »
M. le Maire : « Ah, oui, tout à fait,
on va tout annualiser. C'est un des problèmes des titularisations, déjà,
... pour tout vous dire, il y a cinq o u six ans que je demande à Christian
BEZES de titulariser toutes celles qui n'étaient pas, il a toujours freiné
des quatre fers, ... c'est pas parce qu'il est pas là qu'on le fait aujourd'hui,
puisque ça a été préparé avec toute sa compétence,
et son accord, mais,... on avait dit au personnel, au passage aux 35 heures,
que les titularisations se feraient, alors c'est vrai que ça va être
peut-être mieux pour eux, et on va annualiser tout ça.... mais
ça va avoir un coût pour la collectivité, quand même ;
Alors, il faut préciser deux choses, c'est que un, les personnes qui
n'ont pas encore fait la demande, qui ne sont pas titulaires et qui veulent
l'être, on l'avait dit quand on avait eu toutes les réunions pour
les 35 heures, il faut qu'elles le demandent - pourquoi ? - parce que vous
avez des personnes qui travaillent à la mairie mettons 3 heures par jour,
et qui vont travailler ailleurs. Là, le statut de la fonction publique
l'interdit, donc ce qu'il faut savoir c'est que la personne qui va être
titulaire, ne pourra pas aller travailler ailleurs. Ce que je veux pas, c'est
qu'on la mette, et qu'après elle dise : - ah, mais je peux
plus travailler ailleurs... - On titularisera que les personnes qui le demandent
- donc, qu'elles fassent une lettre, et puis, je crois que Thierry ROLLAND a
prévu des les recevoir avec Gérard AVELINE... »
M. HERMET : « Ca veut dire que par exemple
les 5 personnes qui sont à 50 % ne pourront plus jamais travailler, si
elles acceptent d'être titulaires qu'à 50 % à la Mairie »
M. le Maire : « Ah tout à fait, c'est pour
ça qu'il faut que ce soit volontaire, moi je veux pas.... Par exemple
il y a des agents qui travaillent ailleurs, hein bon, .. s'ils travaillent à
la mairie, ils travailleront pas ailleurs, enfin s'ils veulent le faire ils
le feront, mais s'ils se font choper, moi,... donc c'est pour ça que
la démarche doit être volontaire. »
M. SUZANNE : « Travailler à 50 % c'est
pas forcément la moitié d'une semaine toutes les semaines, ça
peut être 100% pendant une période, ...... »
M. le Maire : « Oui, tout à fait, notamment
dans les écoles et tout ça. »
Thierry ROLLAND : « Grosso modo, sur 36 semaines,
comme ça à la louche, un agent qui est rémunéré
à mi-temps effectue sur les 36 semaines, je crois 25 ou 26 heures, et
ensuite sur les 16 semaines restantes, c'est à zéro - et ce étant
dit, il y a toutes les permanences, etc. donc c'est pas si évident que
ça - c'est une indemnisation, il n'y a pas d'autre choix parce qu'on
ne peut pas faire le ménage quand les enfants sont dans l'école,
et on fait pas le ménage quand il n'y a pas l'école - donc c'est
forcément le matin ou le soir. »
M. SUZANNE : « Et les écoles, pendant
deux mois c'est fermé ? »
Thierry ROLLAND : « Quand il y a pas d'école,
effectivement, le ménage est fait avant, et avant la rentrée -
après la fermeture, et avant la rentrée, donc il peut se passer,
pas deux mois mais presque, où il n'y a pas de, .... Sauf intervention
et travaux des services techniques. »
M. le Maire : « Voilà donc d'autres
questions ? Qui est contre, qui s'abstient ? Adopté. Merci,
donc je vois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent qui sont là,
et je suis ravi pour elles.
Régie de recettes de la commune tickets de cantine restaurant scolaire - Cécile VEILLON.
Mme VEILLON : « CONSIDÉRANT que le
passage à l'Euro a donné lieu à une conversion au millième
de centimes ;
CONSIDÉRANT que pendant la période transitoire, il y a eu double
circulation de monnaies, rendant inexact le strict rendu des espèces
Euro contre Franc ;
CONSIDÉRANT que la conversion du prix du ticket s'est faite à
l'unité ;
Il est constaté un débit de 5,62 € (36,86 F) sur
le C.C.P. n° 523845T 030 MONTPELLIER intitulé « Régie
de recettes de la Commune - Mairie de VENDARGUES »
Il est proposé au conseil municipal, de mandater au profit de LA POSTE,
sur ce C.C.P., la somme de 5,62 € pour ramener ce compte à
zéro, en application des dispositions réglementaires en vigueur,
applicables au régies de recettes. La dépense est inscrite au
Budget Chapitre 67 (Charges exceptionnelles).
M. le Maire : « Voilà - donc on doit,
il faut qu'on mandate 5 Euros 62 j'espère que c'est prévu au Budget
de la commune - voilà donc on vote, pas de... Allez - Adopté,
merci.
Convention de vente de titres de transports en commun : AUDRAN Marie France : »
AUDRAN : « II est rappelé au conseil
municipal, la délibération n° 67/99 du 30/09/1999, portant
convention de vente de titres de transports en commun entre le District de Montpellier,
la SMTU et la Commune.
CONSIDÉRANT qu'il est nécessaire pour garantir un service de proximité
en faveur des Vendarguois, particulièrement pour les enfants scolarisés
dans l'agglomération ;
Il est proposé d'autoriser Monsieur le Maire ou l'adjoint délégué,
à signer la convention annexée à la présente, portant
sur « la vente des abonnements scolaires subventionnés »
(article 1er - 1) du projet de convention, exclusivement.
Le conseil prend acte du projet de convention articles 1er à 8 inclus,
entre la commune la communauté d'agglomération et la TAM (ex SMTU). »
M. le Maire : « Très bien, merci - Donc moi
je pense que la convention il faut la voter parce que d'abord premièrement
ça rend service aux administrés et aux parents d'élèves
- je voudrais dire quand même quelque chose d'actuel et de conjoncturel
- il y a une grève actuellement qui est faite par PROGÉSUD - notamment
pour amener les enfants de Vendargues au collège du Crès - PROGÉSUD
qui est prestataire de service de la TAM, et que les grèves des transporteurs
en France, il commence à y en avoir assez. Un coup c'est la SNCF, un
coup c'est l'aviation, maintenant ce sont les transports scolaires, alors les
parents que j'ai vus, et nombreux sont ceux qui viennent à l'accueil,
se posent plusieurs questions donc, Monsieur le Secrétaire Général,
je vous demanderai demain de faire une lettre au Président de la TAM,
c'est à dire à... au Président FRÊCHE, c'est qu'il
y a la grève, ils peuvent pas prendre les cars, ils sont obligés
d'amener leurs enfants en voitures, donc, ce sont des personnes en principe
qui travaillent, donc il y a un coût d'essence, un coût de trajet,
et ça leur complique, ils ont payé l'abonnement, dans une dizaine
de jours il va falloir qu'ils paient l'abonnement du mois d'octobre, donc je
demanderai, et si vous êtes d'accord, je le fais officiellement ce soir-là,
au Président de l'Agglo, de faire un dégrèvement concernant
ces jours de grève qui ont pas été faits - alors, la grève
est un droit inscrit dans la constitution, mais je trouve que toutes ces personnes
qui sont dans les transports en général, ils exagèrent
quant aux grèves, parce que d'abord, ils prennent le public et les usagers
en otage, je crois que c'est Georges SÉGUI, de mémoire, qui disait
- on s'en fout de gagner les élections, on met une grève
dans l'aviation, et une grève dans la SNCF, et on tient le pays, alors
je crois qu'il y a longtemps que ça dure, j'espère que le gouvernement
va pouvoir écrêter tous ces problèmes, et avoir la force
de caractère qu'il faut pour rentrer dans les syndicats, et couper un
peu tout ce corporatisme, qui fait beaucoup de mal à la France, et puis
il y en a pour d'autres choses... »
M. CLARET :« Oui, d'autant plus que pour abonder
dans ce que tu dis, dans certains villages des environs, Baillargues pour pas
le citer et LUNEL par exemple, qui ont un drainage SNCF, cette grève
se double d'une impossibilité par la SNCF d'assurer bien évidemment
son service pour des raisons de catastrophes naturelles, et c'est, d'autant
plus scandaleux qu'en même temps, effectivement il y ait cette grève
des transports en commune par bus. La SNCF étant bloquée sur certains
secteurs - LUNEL - BAILLARGUES, etc. SAINT AUNES, il est scandaleux qu'à
cette occasion là, bon c'est un hasard, mais effectivement il devrait
y avoir une réquisition des transports en commun.. »
M. SUZANNE : « ............ »
M. CLARET : « Ils sont tellement catégoriels
et sectoriels, je pense qu'il se foutent complètement de ce qui se passe
dans chaque secteur,... mais c'est, justement, pour rejoindre un peu ce que
tu dis, c'est quand même une aberration.....
....Interruption de la cassette.....
.....service public, c'est quand même douteux, mais dans ce contexte-là, c'est carrément scandaleux... »
Passage inaudible - défaut de la cassette
M. SUZANNE : « Pourquoi vous vous limitez
à l'article 1 de la convention ? c'est à dire pourquoi que
la partie transports scolaires et pas la totalité de ce qui est potentiellement
prévu dans la convention ? »
M. le Maire : « Non, parce qu'il y a un accord avec
toutes les communes, c'est pas notre métier, et on fait que le transport
scolaire, parce que sinon ça fait, il faudrait qu'on embauche quelqu'un
de plus. Ce qu'il faut savoir, c'est que le plus gros travail, le plus embêtant,
parce que tout le monde vient en même temps, il y a qu'une machine, c'est
très long, si Marie-Jo était là, elle en parlerait, ou
Madame AVELINE, c'est une horreur, c'est vraiment..., il y a des queues de 10,
15 personnes, parce qu'il y a qu'une machine, ils veulent pas en donner deux ;
c'est très long, si on nous enlevait ça, alors on le fait pour
les administrés, mais, heureusement qu'on n'a que ça, quoi, voilà.
C'est du commerce, alors quand on est arrivé, je crois que ça
existait pas, il y a eu à moment donné un débat de le mettre
dans les bureaux de tabac et tout ça, donc nous on a dit, on va le prendre
en Mairie pour faire un service aux administrés.... Voilà - c'est
surtout pour les enfants et les parents ; je vous invite à venir
voir quand c'est le moment du renouvellement, c'est impressionnant. Voilà,
donc ce qui concerne la convention essentiellement, on le vote - Merci.
Participation de la commune au C.C.A.S. pour 2002 - Marie NAVARRO »
Mme NAVARRO : « Il est rappelé au conseil
municipal, la délibération en date du 4 avril 2002 portant vote
du Budget Primitif 2002, notamment le chapitre 65.
II est proposé au conseil de formaliser le versement de l'attribution
au Centre Communal d'Action Sociale de la commune, d'une somme de 38.112,00 €,
inscrite au chapitre 65 - Budget 2002 (pour mémoire - article 65756).
- don c'est simplement pour confirmer le Budget »
M. HERMET : « C'est la subvention qui a été
votée pour le C.C.A.S. ? »
M. SUZANNE : « Elle n'y était pas justement
cette année dans les subventions, c'est ça, là elle était
pas prévue dans les subventions »
M. le Maire : « Parce que c'est pas une subvention »
Mme NAVARRO : «Non, c'est pas une subvention »
M. le Maire : « C'est le versement de l'attribution,
voilà, c'est une dotation du budget... »
M. SUZANNE : « Les années précédentes
on la votait en même temps que les subventions »
M. le Maire : « Oui mais parce que ça
a changé... on l'a pas mis dans les subventions........ On le vote, Merci.
Convention financière entre la commune de VENDARGUES et le comité des festivités - Philippe M. BERETTI »
M. BERETTI : « Il est rappelé au conseil
municipal, la délibération n° 25/2002 en date du 14 mai 2002,
portant attribution de subventions pour 2002.
CONSIDÉRANT que la subvention attribuée au Comité des Festivités
excède le seuil défini à l'article 1er du décret
2001-495 du 06/06/2001, pris en application de l'article 10 de la loi 2000-321
du 12/04/2000 ;
Il est proposé au Conseil de conclure une convention financière
dont le projet est annexé à la présente, et d'autoriser
Monsieur le ou l'adjoint délégué à signer tout document
relatif à cette affaire.
Les crédits sont inscrits au Budget - Chapitre 65 »
M. le Maire : « Voilà, donc là
il y a plusieurs choses en même temps : d'abord, il y a que toutes
les conventions, et je crois que c'est la question d'après, donc on en
reparlera après, mais enfin toutes les conventions ont été
signées sous l'ancien mandat donc maintenant il faut remettre à
jour la signature de toutes les conventions, donc depuis les dernières
élections de 2001 - c'est pour la formalité - en plus, concernant
spécifiquement le comité des festivités, il y a une nouvelle
loi don j'ai la loi et le décret d'application qui stipule que passé
les 23.000 Euros, il faut une convention particulière et notamment financière
avec ladite association - Le comité des festivités est la seule
qui dépasse ce montant, et donc c'est ce que je demande - alors, c'est
Monsieur le Percepteur, euh je sais pas si on dit comme ça maintenant,
le receveur municipal de Castries qui nous l'a fait remarquer, on savait pas
qu'il y avait cette nouvelle loi, donc c'est une mise en forme, et ça
change pas le montant de ce qu'on avait voté au Budget 2002... Alors
pour cette année pour tout vous dire, on l'a versé comme ça,
en accord avec le Percepteur, donc c'est pour l'avenir, c'est pour ça
qu'on vous demande de voter cette convention, et la question d'après
c'est la même chose... »
M. HERMET : « Pourquoi les subventions on été
versées largement en retard ? »
M. le Maire : « Les subventions sont votées,
elles sont versées, et il y a pas de retard, .....
M. HERMET : « Par rapport aux années
précédentes...
[M. le Maire :] Parce que les années précédentes
elles avaient été versées en avance... c'est l'histoire
de la bouteille pleine et de la bouteille »
M. HERMET : « Non, jusqu'à présent
les subventions étaient versées mi-juin à toutes les associations,
et il se trouve que cette année, elles sont versées plus tard »
M. le Maire : « Elles ont été
versées, pour nous, vers le 10 juillet, donc tout le monde ou à
peu près a tout reçu, alors ce qui s'est passé cette année,
c'est qu'on a eu un décalage financier, qui vient, essentiellement du
retard du reversement de l'Agglo concernant la redevance Taxe Professionnelle
qui devait nous être versées et on l'a vu dans d'autres villages,
notamment à Baillargues, et je crois qu'ils ont eu du retard, le personnel
je crois que 15 jours après ils étaient toujours pas payés,
alors nous avec les services financiers on a privilégié de payer
chaque fois en premier les salaires du personnel ; donc les subventions,
j'ai averti les associations de ce qui s'est passé, j'ai pris contact
avec le Crédit Agricole par l'intermédiaire de Bernard Galtier,
on lui a fait passer Un, l'état des subventions et Deux, les dates à
laquelle ça allait être versé, et donc maintenant ça
suit son cours. Alors, il y en a une que j'ai suspendue pour l'instant, c'est
le versement de l'Association de la Muleta. J'en ai pas encore parlé
à mes collègues, mais je les réunirai et j'en parlerai,
parce que je crois que ces subventions, notamment, ont été faites
pour organiser une fête votive, c'est un fête qui est votée
donc par l'équipe du conseil municipal, et je prends très mal,
je trouve que c'est très grave, c'est complètement idiot, qu'il
y ait une association qui reçoit des subventions de la mairie, qui notamment
organise des courses pendant que d'autres sont organisées, notamment
par d'autres clubs pendant la fête. Donc c'est pour ça que j'ai
bloqué, en plus, ces manifestations sont complètement interdites,
j'ai pas la loi là, mais je peux vous la donner ; toute course de
taureaux qui est organisée doit avoir l'autorisation du Maire, même
sur un terrain privé, donc j'ai chaque fois porté plainte, et
j'ai chaque fois envoyé un arrêté au Président de
la Muleta, et donc ça aussi ça va suivre son cours. Donc à
aujourd'hui, j'ai pas signé, c'est la seule qui a pas été
versée, donc je vais réunir mes collègues du conseil pour
voir ce qu'on fait, mais si les choses bougent pas, je vais peut être
avoir mal au poignet, ça c'est clair. Voilà, alors concernant
le Comité des fêtes, est ce qu'il y a d'autres questions ?
Non... qui est pour, qui est contre ? Adopté.
Conventions types avec les Associations
M. ESPÉROU : « Il est exposé
au conseil qu'il y a lieu d'actualiser les conventions entre la commune et les
associations, dont les projets sont annexés à la présente.
II est proposé au conseil d'autoriser Monsieur le Maire ou l'adjoint
délégué, de signer tout acte relatif à cette affaire.
Le montant de la subvention demeure de la compétence du conseil municipal,
lors du vote du budget. »
M. le Maire : « Voilà, donc je vous
'réexplique' pas, on va re signer toutes les conventions avec les associations,... »
M. HERMET : «...........»
M. le Maire : « Pour avoir droit à une
subvention, n'importe quelle qu'elle soit, il faut qu'il y ait une convention,
donc toutes les conventions que l'on a sont sous l'ancien mandat, on vous propose
de les réactualiser, mais pour le versement de la, ... l'autre, la question
d'avant, c'est une convention financière, que là ce sont des conventions
d'occupation, ... de toute manière, toutes les associations, avant de
les subventionner, on leur demande leur bilan, leur projet, et les analyses
financières,... »
M. HERMET : « Donc celui du comité des
festivités sera joint comme pièce.... »
M. le Maire : « Il y est, il y est, mais avant
il y avait pas de convention financière, donc on va recevoir le président
mais j'attendais d'avoir votre autorisation, on va lui demander exactement tous
les documents qu'il faut, il faudra qu'il les fournisse, sinon.... Mais puisqu'on
a soulevé ce lièvre, en gros pour celle là, on a dit on
va tout actualiser, comme ça ce sera fait. »
M. SUZANNE : « Il n'y a aucune raison de les
revoter, c'est pas voté avec le Maire, c'est voté avec la commune
qui est une personne morale, et qui ne change pas parce qu'on change de municipalité....
»
M. le Maire : « Si parce que le signataire
est pas le même, .....ça veut dire qu'on peut ressortir une convention
de 1936 »
M. SUZANNE : « Attendez, si la convention prévoit
qu'elle se renouvelle par tacite reconduction, sauf dénonciation par
les parties, vous n'allez pas signer en tant que Monsieur le Maire, vous allez
signer en tant que Commune de Vendargues. »
M. le Maire : « Tout à fait, oui, mais
on réactualise de manière à ce qu'il y ait pas de problème,
d'abord ça coûte rien, ça permet de revoir tout le monde,
et on refait les choses à l'ordre du jour, parce que,... c'est pour pas
qu'il y ait un contentieux de nouveau... »
M. SUZANNE : « Et le texte a changé,
par rapport à la dernière fois ? »
M. le Maire : « Non, le texte concernant celle
là n'a pas changé, mais je vous dis, on réactualise.. »
M. ESPÉROU : « Il y a des présidents
d'association aussi qui risquent de l'avoir égarée...... »
M. le Maire : « Voilà, oui ça
permet, ...... non les conventions sont pas tellement vieilles quand même,
chaque mandat on l'a fait,... »
M. ESPÉROU : « Y a des `Assos' qui se
sont créées.... »
M. le Maire : « Oui, elles sont de 99... »
M. SUZANNE : « Non, celles qui se créent,
on la signe au moment de la création, mais pour les associations qui
l'ont déjà signée depuis trois ans, ...... »
M. ESPÉROU : « Ca permet de leur rappeler
un petit peu.... »
M. le Maire : « Non attendez, il vaut mieux
faire plus que moins quand même...
M. le Maire : « Participation de la commune au COS, ... Ah on n'a pas voté là, pardon, donc qui est contre, qui s'abstient ? Adopté.
Alors, le COS, Xavier COMBETTES »
M. COMBETTES : « Il est rappelé au
conseil municipal la délibération en date du 4 Avril 2002, portant
Budget Primitif pour 2002.
II est proposé au conseil de formaliser la participation de la commune
au Comité des Œuvres Sociales (COS 34) pour 2002, dont le montant
s'élève à 14.022,39 €, et de dire que les sommes
sont inscrites au Budgets - Chapitre 65 (article 65737 pour mémoire).
M. le Maire : « Bon Voilà donc, même
remarque que pour le C.C.A.S., on l'a mis dans le budget, mais on l'avait pas
formalisé, donc le COS c'est le Comité d'œuvre Sociale du
Personnel communal, et ils tournent avec, ils en sont ravis, d'ailleurs. »
M. SUZANNE : « ...les communes du Département.. »
M. le Maire : « Non, pas du tout, ça
ne concerne que Vendargues,... »
M. SUZANNE : « C'est que Vendargues, ça ?....
Non, COS 34 »
........
M. le Maire : « Ah, Oui, ...non mais je veux
dire, il y a le COS, et il y a ce qu'on verse à leur association, ce
qui est différent....... Donc, même vote ? Adopté.
Règlement intérieur conseil municipal - Plan de table
Donc je vous propose de rajouter dans le règlement intérieur
que désormais il y aura un plan de table donc, - vous avez reçu,
non ? donc je vais vous le faire passer.... Voilà, donc dans toutes
les assemblées délibérantes, notamment à l'Agglo,
il y a un plan de table, qui est joint, non pas au règlement intérieur,
parce que à l'Agglo, j'ai jamais vu le règlement intérieur,...
alors, vous allez me dire......
M. SUZANNE : « ... Ca me paraît du zèle
Juridique que de mettre ça dans règlement intérieur.... »
M. le Maire : « Attendez, on est à bonne
école pour le zèle juridique, ça c'est sûr que....
Alors, attendez, d'abord j'ai pas fini de présenter je vous passerai
la parole après. Donc dans toutes les assemblées départementales
il y a un plan de table, alors vous allez me dire qu'on sépare les groupes
d'opposition, c'est tout à fait vrai, donc c'est une décision
qu'on a prise, enfin qu'on vous propose de prendre, donc le plan proposé
est celui là, donc j'ouvre le débat, et puis on votera. »
M. HERMET : « Pour quelle raison ? »
M. le Maire : « Parce que, ... c'est plus simple
comme ça... »
M. HERMET : « Pour quelle raison séparez
vous...... »
M. le Maire : « .. D'abord il y a aucune raison
qu'ils soient ensemble, si ce n'est.....
M. SUZANNE : « Vous avez déjà
vu à l'Assemblée Nationale.....
M. le Maire : « ..Non, non attendez - Allez
voir à l'Agglo, moi quand j'étais dans l'opposition à l'Agglo
avec Michèle GARCIA et avec Guy M. PONS, on était entre .........
et un escalier, maintenant, vous qui assistez souvent aux réunions de
l'Agglo, vous regarderez par exemple la place de Christian JEANJEAN, la place
du Maire de SAINT GELY, la place du Maire de BAILLARGUES, ..... »
M. SUZANNE : « C'est par commune... »
M. HERMET : « Par commune, et par ordre alphabétique... »
M. le Maire : « Non, ...les communes elles
se mettent, et elles sont séparées, voilà donc on souhaite
que ce soit pareil, parce que de toute manière les élus ont leur
place, on va le voter s'il y a pas d'autre question, et s'il y pas d'autres
interrogations, ...... »
M. HERMET : « Alors
et si on respecte pas les places, qu'est ce que vous allez faire, nous changer
de place ? »
M. le Maire : « Et bien je vous mettrai dehors,
je vous mettrai dehors, parce que je suis.... »
M. HERMET : « Et bien, vous me mettrez dehors.... »
M. le Maire : « Non, mais j'appellerai, ....
je me salis pas les mains moi vous inquiétez pas, ....
M. HERMET : « Non mais moi je me laisserai
pas toucher non plus... »
M. SUZANNE : « Si vous appelez pas ça
de la brimade délibérée, je veux dire, dites moi comment
vous appelez ça ? »
M. le Maire : « Pourquoi, vous.... me paraissez
d'une capacité intellectuelle suffisante pour être à un
mètre cinquante..... »
M. HERMET : « Quelle explication rationnelle
à nous séparer... donnez nous une explication rationnelle !...Y'a
pas d'opposition... »
M. le Maire : « Et si .... »
M. HERMET : « Y'a pas de haute opposition,
on est 29.... »
M. le Maire : « Non, mais attendez, ici c'est
moi qui donne les temps de parole, ...... »
M. HERMET : « Je vous demande la parole, et
je vous pose la question »
M. le Maire : « Vous êtes le vingt sixième
conseiller municipal, donc...... Est ce qu'il y a d'autres questions ? »
M. HERMET : « ....correspond à quelque
chose de précis ? »
M. le Maire : « Il correspond à une
proposition sur laquelle on va voter »
M. HERMET : « Quel est l'ordre précis ?.... »
M. le Maire : « l'ordre précis vous
l'avez là.. »
M. HERMET : « Quelle raison.... expliquez-vous !... »
M. le Maire : « La raison,
c'est la raison du fait majoritaire, voilà... on souhaite que vous soyez
comme ça,.... »
M. HERMET : « Vous souhaitez que nous soyons
séparés »
M. le Maire : « Voilà, complètement.. »
M. HERMET : « Exactement, j'aime vous l'entendre
dire »
M. le Maire : « Voilà, je vous le dis,.... »
M. HERMET : « Dites-le clairement,.. »
M. le Maire : « Non, mais moi j'ai pas l'habitude
de me cacher derrière........
..........Et bé vous le direz à Frêche..... Alors, Qui est
contre ? »
M. HERMET : « Bien, sûr, Nous on est
contre... »
M. le Maire : « Levez la main, alors... avec
les procurations ça fait cinq... qui s'abstient ? A voté »
M. HERMET : « Alors, il y en a pas un de vous
qui ose dire quelque chose ? Il y a pas grand monde qui a grand chose dans
sa culotte, excusez moi ! »
M. le Maire : « Non, attendez, n'insultez pas
les élus du conseil municipal, on n'est pas ici dans une assemblée
de trisomiques, donc vous répondez... je vous interdis de parler comme
ça à mes élus... que ce soit clair, et je vous donne un
avertissement, que ce soit la dernière fois que vous parlez comme ça
aux élus - voilà, je vous donne un avertissement, voilà
je vous le donne, et il sera au P.V. - Non, non on est pas là pour...
vous vous excitez ailleurs, mais pas ici ».
M. SUZANNE : « Si vous n'avez plus que ça
pour arriver à faire le conseil...!! »
M. le Maire : « Ne vous inquiétez pas
pour mon conseil, il tient »
M. SUZANNE : « Oh, je sais, ça !... »
M. le Maire : « Voilà,
alors après - Question écrite, allez-y - Alors la question écrite
porte sur le... je la lis, le 22, alors c'est Monsieur M. HERMET qui.... Je
l'ai pas - Vous l'avez pas, puisque je l'ai pas, moi. - Voilà alors question
écrite, question orale de Monsieur M. HERMET, qui est prévue dans
le cadre du règlement intérieur du conseil municipal, il est évident
que le règlement intérieur, avec l'amendement qui va être
voté, alors je le dis, ça va être enregistré, ça
va être au P.V., le règlement intérieur qui vient d'être
voté, soit il est respecté dans son ensemble, soit sera pas du
tout - alors, si la prochaine fois, il y a des problèmes pour les places,
d'abord j'utiliserai mon pouvoir de Président de séance, ça
c'est clair, et deuxièmement, je n'accepterai plus rien, plus de question
orale, ni rien - donc je le dis, à bon entendeur salut. »
M. HERMET : « On règlera ça devant
les tribunaux ! »
M. le Maire : « Mais, mettez-le au Tribunal -
Monsieur le Maire, conformément à l'article 1.6 du règlement
intérieur du conseil municipal, je vous prie de bien vouloir prendre
en compte la question suivante, et de l'inscrire à l'ordre du jour du
prochain conseil municipal. / J'ai reçu par courrier copie d'une lettre
que le policier municipal Robin MASSE vous a adressée en réponse
à un avertissement que vous lui avez infligé. Il serait souhaitable
que l'ensemble du conseil connaisse la position de Monsieur Guy M. PONS, Adjoint
à la Sécurité, sur ce litige.
J'estime qu'à cette occasion, vous avez outrepassé vos droits,
et que rien ne vous autorise à vous immiscer dans la vie privée
du personnel municipal. Je vous demande donc de retirer cet avertissement injustifié,
au vu des attestations jointes. Pour clarifier la situation je demande officiellement
une réunion extraordinaire du Comité Technique Paritaire dans
les plus brefs délais. Dans ce courrier, il ressort également
que vous avez utilisé le policier municipal, et ce à plusieurs
reprises, dans des situations personnelles, ce qui constitue un abus caractérisé
qui appelle de plus amples explications de votre part devant l'ensemble du conseil...
dans l'attente,
'patin coufin' voilà donc, on va.... Qui veut s'exprimer là
dessus ? »
Mme VEILLON : « Moi je peux vous expliquer
comment ça s'est passé. »
M. PONS : « Moi j'aimerais bien apporter une
précision »
M. le Maire : « Bon, alors qui veut prendre
la parole ? C'est tout, vous deux alors, bon alors, Cécile vas y. »
Mme VEILLON : « Je vais expliquer comment ça
c'est passé, hein. Donc j'étais avec ma voisine dans mon lotissement,
elle attendait un expert, pour un litige qu'elle a avec Monsieur Robin MASSE,
donc Monsieur Robin MASSE était aussi convié, donc on l'a vu arriver
en tenue, donc Madame GEFFARD ma voisine m'a demandé si c'était
normal qu'il était en tenue, s'il était dans l'exercice de ses
fonctions, donc elle m'a demandé ça à moi en tant que conseillère
municipale, j'ai dit je ne sais pas, je vais appeler Monsieur le Maire pour
avoir une réponse. Donc sur ce j'ai appelé Monsieur le Maire,
je lui ai relaté les faits, et donc je lui ai passé,... il a demandé
à parler à Monsieur MASSE. Et là... »
M. le Maire : « Voilà, donc moi je lui
ai dit que c'était une réunion privée qui ne me regardait
pas, et qu'il était en dehors de ses heures de travail, donc qu'il n'avait
pas à porter l'uniforme, donc je lui ai demande de un, de s'excuser et
deux, d'aller se changer pour assister, parce que bon les personnes chez qui
il allait, ça les gênait, et les deux questions - alors que moi
j'étais à une réunion à l'Agglo, j'étais
pas sur place en plus - il y a deux questions qui ont été posées,
c'est Un est ce que vous soutenez la démarche de Monsieur Robin, et deux
est ce que c'est normal qu'il soit en uniforme ? Aux deux questions j'ai
dit non, donc j'ai demandé à Monsieur Robin, et c'est un refus
caractérisé d'obéissance envers son.... Patron , en gros,
parce que je suis le patron de la commune de par la Loi et de par les électeurs,
alors donc je lui ai mis un avertissement - Voilà qui c'est qui a demandé
la parole, Guy ? »
M. PONS : « Oui, Ben tu as un peu tout dit
ce que je voulais dire, tout simplement que Monsieur Robin MASSE avait demandé
une heure pour régler une affaire personnelle, que cette heure lui a
été accordée par son chef de poste, qu'à partir
de ce moment il ne faisait plus partie du service, pendant cette heure là
il était suspendu de ses fonctions, donc il ne devait pas être
en tenue - voilà, c'est tout. Tout le reste après, c'est,....
Mais moi je...... ce que je voulais dire, c'est que... pendant ce laps de temps
qu'on lui a accordé, il ne devait pas être en tenue...... »
M. HERMET : « Attendez, vous portez sur l'avertissement
qu'il portait son arme de service »
M. le Maire : « Non mais attendez, alors qui
veut prendre la parole ? »
M. AVELINE : « Moi je voudrais apporter une
précision : Au niveau du personnel, comme vous le savez, et vous
le découvrirez pas aujourd'hui ni ce soir, je suis l'adjoint responsable
du personnel en tant qu'adjoint responsable du personnel, je trouve un petit
peu grotesque de faire un courrier à Monsieur le Maire, sachant pertinemment,
si vous avez le Code Général des Collectivités Territoriales
devant vous, vous en référerez à l'article 2122-18 qui
dit que le Maire, comme il l'a souligné, est le patron de l'administration
territoriale - à partir de ce moment là, quand le Maire donne
un ordre à un employé, il doit s'exécuter il n'y a pas
de débat à faire là-dessus. A la place du Maire, j'emploierais
simplement une phrase de MALRAUX - MALRAUX disait : 'Plus on vous critique,
plus vous devez vous affirmer, et non vous justifier' Le Maire n'a pas à
se justifier »
M. HERMET : « Monsieur M. PONS vient de dire..... »
M. le Maire : « Et attendez, je vous ai pas
donné la parole, donc on va terminer - d'abord vous l'avez pas demandée,
donc, c'est pas la foire ici ... Bon je te remercie Gérard, je remercie
Guy et Cécile de ces précisions. Donc je vais continuer à
répondre, Donc la réunion du CTP, elle aura pas lieu parce que
c'est pas fait pour ça, le CTP c'est un organisme qui est fait pour les
conditions de travail qui tiennent à la sécurité, et pas
pour les trucs qui sont pas respectés. Alors j'ai fait une lettre à
Monsieur MASSE qui n'est pas partie, qui partira donc après ce conseil,
que je vais vous lire :
Monsieur,
J'ai, apparemment comme tous les élus de la commune, reçu votre
lettre du 3 septembre 2002, par laquelle vous me faites part de vos remarques
concernant l'avertissement que je vous ai adressé le 20 août.
Je prends connaissance et acte de votre réponse et du fait que vous n'étiez
pas armé.
Mais je confirme cet avertissement par la présente, pour vous avoir demandé
de retirer votre uniforme pour régler une affaire privée, ordre
que vous n'avez manifestement pas respecté.
Etant à proximité immédiate de votre domicile, vous auriez
eu le temps de vous absenter quelques instants sans mettre en cause la réunion
à laquelle vous avez participé.
Je vous invitai à une plus grande circonspection ; je vous demande
désormais de ne plus porter votre uniforme en dehors de vos heures de
service.
- Donc ça, c'est très précis - je veux dire, on va
pas faire les courses avec son uniforme, encore plus pendant les heures de travail,
etc.
Je vous prie de me rencontrer au plus tôt pour faire le point.
Donc je crois qu'on l'a convoqué pour lundi matin - huit heures et demi -
Enfin, vous avez choisi de porter sur la place publique cette affaire,
et vous avez même écrit, je vous cite : « (...)
vous m'avez utilisé à de nombreuses reprises, et ce, pendant l'exercice
de mes fonctions,à des fins personnelles, ou pour rendre des services
à des proches ou parents, et cela même à l'extérieur
du village. »
Je trouve cette affirmation pour le moins péremptoire ; je me réserve
tout droit en la matière concernant ces allégations calomnieuses,
à moins que ces mots n'aient dépassé votre pensée,
et aient été écrits sous la colère.
Je reste donc à votre disposition, et vous prie d'agréer, Monsieur,
l'expression de ma considération distinguée.
Alors je trouve quand même que c'est - je veux dire, ça c'est
pire que PROJETEC ou la SNCF, tout le monde réuni, là.
Je veux dire, il y a un gars qui est employé par la commune, qui est
bien payé, et grassement payé par rapport... je fais un débat
quand vous voulez, par rapport aux autres policiers du Département, il
fait un truc qui n'est pas normal, qui est privé, qui n'est pas normal,
je lui demande - donc le Maire lui demande - Le Maire qui est le patron des
employés communaux et de la commune, je lui demande de l'enlever, il
m'envoie chier - je veux dire il m'envoie chier devant tout le monde, je lui
donne un avertissement - un avertissement c'est quand même, dans le premier
groupe, des sanctions qu'il peut y avoir, et c'est même pas inscrit au
dossier.
Alors j'en avertis mes collègues du conseil municipal, parce que c'est
dans mes habitudes, chaque fois que (........) chaque fois que je prends une
décision ou que je fais quelque chose, plutôt qu'ils l'apprennent
dans la rue, ou en allant faire les courses, j'aime autant que ce soit moi qui
le leur dise. Donc je trouve ça scandaleux, je trouve ça dommage,
parce que c'est un garçon qui encore, ... sentimentalement c'est le gendre
de Monsieur MARTIN, donc quand on l'avait embauché, c'était sur
la demande de Monsieur et Madame MARTIN, qui était un personnage attachant,
qui est un personnage attachant, pardon, de la vie municipale à Vendargues,
donc je le regrette, je trouve que c'est complètement idiot et bien sûr
l'avenir s'inscrira pas aujourd'hui comme il aurait pu s'inscrire il y a un
mois s'il y avait pas eu ça. Donc évidemment on le lui dira clairement
en face lundi. Donc pour moi l'incident est clos, et sachez bien que chaque
fois qu'un employé manquera à un quelque ordre comme ça,
je réunirai pas le conseil municipal pour lui donner la punition. Voilà,
j'ai rien d'autre à rajouter là dessus »
M. HERMET : « Je peux avoir la Parole ? »
M. le Maire : « Allez-y »
M. HERMET : « Je vous ai demandé également
de nous expliquer, puisque le Policier parle que vous l'avez utilisé
à usage personnel, je trouve que si effectivement c'est le cas, c'est
plutôt grave. »
M. le Maire : « J'ai répondu dans la
lettre - vous avez la réponse »
M. HERMET : « Nous nous réservons le
droit de porter cette affaire devant la jurisprudence ...ça en fera une
de plus »
M. le Maire : « Ben voilà, et on prendra
M. PONS, et ça coûtera 10.000 Francs ... Vous êtes de tous
petits opposants, c'est normal avec le score que vous avez fait...... Allez
le conseil est fini, merci et bonne fin de soirée. »
Le site de Bernard SUZANNE, ancien conseiller municipal
de VENDARGUES (Hérault) Accueil - Actualité - Dossiers - Documents - PV des CM - Aide Liens utiles - Qui suis-je - Me contacter Dernière mise à jour le 11 octobre 2003 |
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