Présents :
Pierre DUDIEUZÈRE, Michèle GARCIA, Guy PONS, Martine PINEL, Marie NAVARRO, Gérard AVELINE, Nadine RUIZ, Jean SEGUIN, Marie-France AUDRAN, Fabrice MALANDAIN, Cécile VEILLON, Guy LAURET, Sylvie ROQUEBLAVE, Xavier COMBETTES, Régine SALLES, Lionel ESPÉROU, Jacques VASSALLO, Max HERMET, Maryse ÉDOUARD, Jean-Claude TORRENT, Bernard SUZANNE
Représentés :
Bernard GALTIER : pouvoir à Pierre DUDIEUZÈRE ; Philippe BERETTI : pouvoir à Régine SALLES ; Géraldine GROLIER : pouvoir à Gérard AVELINE ; Anne GONNET-MARTY : pouvoir à Martine PINEL ; Danielle OUFFE : pouvoir à Marie NAVARRO ; Florence BONNET : pouvoir à Guy LAURET ; Virginie SUC : pouvoir à Jean-Claude TORRENT
Absents :
Olivier CLARET
Monsieur le Maire constatant que le quorum est atteint, ouvre la séance.
Monsieur GALTIER a été élu secrétaire de séance.
Affaire n° 1 - Ordre du jour
Monsieur le Maire présente l'ordre du jour suivant, qui comporte 13 affaires :
(Pour aller directement à la partie du PV concernant une question qui vous intéresse, cliquez sur le numéro de cette question dans la colonne « Question n° » du tableau ci-dessous)
Question n° | Objet |
1. | Adoption de l'Ordre du Jour |
2. | Adoption du procès-verbal n° 05/2003 |
3. | Décisions municipales : n° 10 - 11 - 12 - 13/2003 |
4. | Biens sans maître - Acquisition - Procédure |
5. | Élu - Frais de transport |
6. | S.I.A.E. du Salaison - Rapport annuel 2002 |
7. | SICTOM des Trois rivières - Rapport annuel 2002 |
8. | Le Bacchus - Lou Bigos - Bail |
9. | Syndicat miste de restauraiton du Bérange - Annulation par SAINT-DRÉZÉRY de sa décision |
10. | Service des sports - Vacataire |
11. | Agents non titulaires - Taux de rémunération |
12. | Collaborateur de cabinet - Rémunération |
13. | Régime indemnitaire - modification des délibérations des 13/12/2001 et 19/12/2002 |
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cet ordre du jour ;
Ne prennent pas part au vote : | Néant | |
Abstentions : | Néant | |
Contre : | Néant | |
Pour : | 28 |
Affaire n° 2 : Adoption du procès-verbal n° 05/2003
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette affaire ;
Ne prennent pas part au vote : | Néant | Pour extrait conforme | ||
Abstentions : | Néant | |||
Contre : | Néant | |||
Pour : | 28 |
Affaire n° 3 : Décisions municipales : n° 10 - 11 - 12 - 13/2003
Monsieur le Maire fait part de décisions prises depuis la séance
du conseil municipal en date du 26 juin 2003 ;
Décision n° 10/2003 : Renouvellement
du droit de voirie de la « brasserie des sports »
Décision n° 11/2003 : Renouvellement
du droit de voirie de la SARL CHAPTAL
Décision n° 12/2003 : Renouvellement
du droit de voirie « Le Potager »
Décision n° 13/2003 : Renouvellement
Bail Manade Daniel LOPEZ & Fils
Affaire n° 4 : Biens sans maître - Acquisition - Procédure
Monsieur COMBETTES présente l'affaire ;
Les parcelles DE n° 152 et 153, classées « biens
sans maître », se situent sans l'emprise du projet d'extension
de la Société SYSTEME U et entraînent de ce fait une gêne
dans l'aménagement spatial projeté de la zone concernée.
En application de la loi S.R.U. modifiée et de l'article L. 27 bis
du Code du Domaine de l'État, il convient d'envisager l'acquisition de
ces deux parcelles dans le cadre de l'article L. 300-1 du Code de l'Urbanisme.
Je vous demande donc :
• De solliciter de Monsieur le Préfet l'engagement de la procédure
prévue pour la vente à la Commune des parcelles DE n° 152
et 153
• De dire que l'acquisition se fera sur la base de la valeur vénale
fixée par le Service des Domaines
• D'autoriser Monsieur le Maire à signer tous les actes et
documents utiles à la réalisation de cette acquisition
• De dire que les crédits nécessaires sont inscrits
au Budget - Chapitre 21.
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette
affaire ;
Ne prennent pas part au vote : | Néant | |
Abstentions : | Néant | |
Contre : | Néant | |
Pour : | 28 |
Affaire n° 5 : Élu - Frais de transport
Madame AUDRAN présente l'affaire ;
En application du Code Général des Collectivités Territoriales,
je vous demande de prendre en charge les frais de transport engagés par
Madame NAVARRO, Adjointe aux affaires sociales, pour assister à une réunion
intercommunale sur les C.C.A.S.
Le montant des frais s'élève à 70 €.
Les crédits nécessaires sont inscrits au Budget - Chapitre 011
Le conseil municipal, à l'unanimité des voix exprimées,
adopte cette affaire ;
Ne prennent pas part au vote : | 1 (M. VASSALLO) | |
Abstentions : | Néant | |
Contre : | Néant | |
Pour : | 28 |
Affaire n° 6 : S.I.A.E. du Salaison - Rapport annuel 2002
Monsieur LAURET présente l'affaire ;
En application de l'article 3 du décret n° 95.635 du 06/05/1995,
Monsieur le Président du Syndicat Intercommunal d'Adduction d'Eau du
Salaison nous a adressé le rapport annuel, adopté par le comité
syndical le 11/06/2003, sur le prix et la qualité du service de distribution
publique d'eau potable de l'année 2002.
Je vous demande de prendre acte de la présentation de ce rapport, qui
sera mis à la disposition du public pendant une durée minimale
de un mois.
Le conseil municipal prend acte de la présentation du rapport.
Affaire n° 7 : SICTOM des Trois rivières - Rapport annuel 2002
Monsieur SEGUIN présente l'affaire ;
En application de l'article 3 du décret n° 95.635 du 06/05/1995,
Monsieur le Président du SICTOM des trois rivières nous a adressé
le rapport annuel, adopté par le comité syndical le 11/06/2003,
sur le prix et la qualité du service de collecte des ordures ménagères,
balayage et déchets verts de l'année 2002.
Je vous demande de prendre acte de la présentation de ce rapport, qui
sera mis à la disposition du public pendant une durée minimale
de un mois.
Le conseil municipal prend acte de la présentation du rapport
Affaire n° 8 : Le Bacchus - Lou Bigos - Bail
Monsieur PONS présente l'affaire ;
Par délibération du 17 mars 2003, nous avons décidé
à l'unanimité l'acquisition du fonds de commerce (« pas
de porte ») du Bacchus - Lou Bigos.
L'objectif est de réaliser dans ce bâtiment, situé dans
la Z.A. « les Portes Domitiennes », une salle des festivités
afin d'éloigner du centre ville les nuisances sonores engendrées
par les différentes manifestations qui se déroulent à l'Espace
Armingué.
L'acquisition du bâtiment n'étant toujours pas possible pour le
moment, il convient comme il était prévu, de passer un bail de
location, dont le projet figure en annexe de la présente délibération.
Le bail, d'une durée illimitée, dans l'attente de l'acquisition
définitive, commencera à courir le 1er juillet 2003.
La location, indexée sur l'indice national du coût de la construction
publié par l'INSEE, est fixée à 42.719,52 € par
an ; soit le prix de location de base de 36.500 € par an, multiplié
par l'indice précité.
Le service des Domaines a fixé la valeur locative de ce bien à
36.000 € par an.
Je vous demande :
• D'adopter le bail à passer avec Monsieur André CICALESE
et Madame Nicole MASMEJEAN pour la location du bâtiment dénommé
« le Bacchus - lou Bigos »
• D'autoriser Monsieur le Maire à signer le bail, ainsi que
tous les documents utiles à la réalisation de cette affaire
• De dire que les crédits nécessaires sont inscrits
au budget - chapitre 011
Le conseil municipal, à la majorité des voix exprimées,
adopte cette affaire ;
Ne prennent pas part au vote : | Néant | |
Abstentions : | Néant | |
Contre : | 5 (MM. HERMET, SUZANNE, TORRENT, Mmes ÉDOUARD et SUC | |
Pour : | 23 |
La délibération soumise au vote du conseil, qui faisait suite à la délibération prise lors du conseil municipal convoqué selon la procédure d'urgence le 17 mars 2003, visait à autoriser le maire à signer un bail avec les propriétiares du Bacchus, dont la mairie avait racheté le fond de commerce dans le cadre de la procédure de liquidation judiciaire de ce restaurant (voir procès-verbal du conseil précité). La mairie ne pouvant reprendre à son nom un bail commercial (le seul élément ayant quelque valeur dans le fond de commerce racheté), il fallait remplacer ce bail par un bail non commercial dont le projet était joint à la délibéraiton.
Les conseillers du groupe minoritaire ont voté contre cette délibération, non pas parce qu'ils sont contre le principe de l'utilisation de ce local pour en faire une salle des fêtes, puisqu'ils avaient voté pour le rachat du fond (voir les commentaires au procès-verbal de la séance du 17 mars 2003), mais parce que le bail soumis au vote pose à leur yeux deux problèmes majeurs : les risques découlant des termes du nouveau bail d'une part, et le prix d'autre part.
Les risques : le bail qui consituait
le seul élément de quelque valeur dans le fond de commerce racheté
par la commune devait une grande partie de sa valeur au fait qu'il s'agissait
d'un bail commercial, valable pour neuf ans renouvelables par tacite reconduction,
ce qui donnait à l'occupant (la commune après le rachat) une garantie
de stabilité dans les lieux, indispensable pour entreprendre des travaux
d'aménagement nécessaires dans des murs qui ne lui appartenaient
pas. Et il n'a jamais été question, lors de la séance du
17 mars 2003, du fait que la commune aurait à changer la nature et les
termes de ce bail.
Or c'est exactement ce qui arrive aujourd'hui. On nous informe que la commune
ne peut être titulaire d'un bail commercial et on nous propose de le remplacer
par un bail non commercial sans aucune garantie de durée.
Le projet de bail soumis au vote comporte en effet la clause suivante intitulée
« Durée du bail » : « La présente
location est consentie et acceptée pour une durée indéterminée
qui commencera à courir le 1er juillet 2003 » (souligné
par moi), ainsi que cette autre clause, intitulée « Fin de
bail - Remise des clefs » : « Le bail pourra prendre
fin à tout moment à la demande de l'une ou l'autre des parties,
moyennant un préavis non motivé de six mois effectué
exclusivement par voie d'Huissier » (en gras dans le texte). Comme
par ailleurs, ce qui est classique dans un tel bail, on y lit, dans la clause
intitulée « Améliorations » : « Tous
travaux, embellissements, améliorations, installations et décors,
qui seraient faits dans les lieux mis à disposition par "l'Occupant",
même avec l'autorisation du "Propriétaire" deviendront
en fin des présentes, de quelque manière et à quelque époque
qu'elle arrive, la propriété du "Propriétaire"
sans aucune indemnité. Pour les travaux qu'il aura autorisé, "le
Propriétaire" ne pourra exiger le rétablissement des lieux
dans leur état primitif. Pour les travaux effectués sans son autorisation,
le propriétaire aura toujours droit d'exiger le rétablissement
des lieux dans leur état primitif aux frais exclusifs de "l'Occupant" »,
il en résulte que la commune peut parfaitement entreprendre dans ce local
des travaux d'aménagement, de mise aux normes de sécurité,
etc. coûteux et payés par les contribuables vendarguois, et, une
fois ces travaux terminés, se voir notifier par le propriétaire,
sans qu'il ait à donner aucun motif pour cela, d'avoir à remettre
les lieux à sa disposition sous six mois, et tous les travaux
auront été faits aux frais du contribuable pour le seul bénéfice
du propriétaire !...
Le maire a prétexté du fait que, comme le bail ne pouvait être
un bail commercial, on pe pouvait y inclure de clause de durée garantie,
ce qui est manifestement faux, car si le Code de commerce oblige
à conclure des baux commerciaux pour une durée minimum assez longue
pour des raisons évidentes (un commerçant ne peut engager des
frais sans avoir une garantie de pouvoir les amortir sur une durée raisonnable),
il ne peut bien évidement interdire de prévoir une garantie de
durée dans des baux qui ne ressortissent pas de son champ d'application !
Bref, si le maire signe le bail tel qu'il a été présenté
au conseil, la commune se trouvera en situation d'avoir à engager des
frais importants d'aménagement du Bacchus sans avoir aucune garantie
de pouvoir bénéfier de ces investissements plus de six mois, et
avec le risque que ces travaux deviennent la propriété du propriétaire
des murs au terme de ce délai, sans contrepartie pour la commune !...
Le prix : le bail commercial qui faisait
partie du fond de commerce racheté par la commune avait été
souscrit le 1er novembre 1999 par le gérant maintenant failli du restaurant
« Le Bacchus - Lou Bigos » au prix de 240.000 F par
an (36.587,76 €), indexé sur l'indice INSEE du coût de
la construction, révisable annuellement à la date anniversaire
du bail. Suite aux révisions successives, le loyer annuel est depuis
le 1er novembre 2002 de 42.719,52 €. Mais ce loyer était en
partie justifié par le fait qu'il s'agissait d'un bail commercial impliquant
une contrainte de durée pour le propriétiare.
Le service des Domaines (service dépendant du ministère de l'Économie
et des Finances), dont la consultation est obligatoire en de tels cas, a estimé
la valeur du bail à souscrire par la commune à 36.000 €
par an, valeur en juillet 2003. En principe, la commune dispose d'une marge
de négociation de plus ou moins 10% par rapport à l'estimation
des Domaines. La borne supérieure de négociation est donc 39.600 €.
Le prix demandé, et accepté par le maire, est de 42.719,52 €,
soit 18,7% de plus que l'estimation des Domaines. Pourtant, des arguments existaient
pour demander une réduction du loyer par rapport à son niveau
antérieur : d'une part, l'absence de garantie de durée minimum
dans les lieux, au contraire du bail commercial antérieur, et d'autre
part, la garantie de paiement que représente pour des propriétaires
échaudés par plusieurs faillites successives de précédents
locataires, la location à une commune.
Ce dernier point suggère un autre risque, opposé à celui mentionné plus haut, qui est que la situation de locataire de la commune se pérennise. Lors du conseil municipal du 17 mars 2003, le maire avait indiqué que les propriétaires du local, deux ex-conjoints maintenant divorcés, ne pouvaient vendre tant que le partage de leurs biens, dont fait partie le Bacchus, n'était pas finalisé, mais que, selon toute vraisemblance, celui des deux qui conserverait le Bacchus serait prêt à vendre à la commune une fois la situation clarifié avec son ex-conjoint. Mais, une fois le bail signé, si le propriétaire ne cherche pas à reprendre le local réaménagé aux frais du contribuable pour le relouer dans de meilleurs conditions, il pourrait prendre goût à cette rente de situation d'un loyer tombant régulièrement et sans risque de non paiement et décider de ne pas vendre, ce qui ferait que la commune gréverait année après année son budget de fonctionnement de loyers payés à fonds perdus pour des montants de plus en plus élevés du fait de l'indexation.
Bref, une opération qui, dans l'urgence invoquée le 17 mars 2003, pouvait paraître séduisante, semble maintenant coûteuse pour la commune et pleine de risques. C'est la raison pour laquelle les élus du groupe minoritaires, qui restent d'accord sur l'objectif de réduire les nuisances pour les riverains de la salle Armingué en trouvant un autre local hors de la partie agglomérée de la commune, ont voté contre le projet de bail qui leur était soumis.
Affaire n° 9 : Syndicat miste de restauraiton du Bérange - Annulation par SAINT-DRÉZÉRY de sa décision
Madame PINEL présente l'affaire ;
Par délibération du 10 avril 2003, le conseil municipal de la
commune de SAINT-DRÉZÉRY a voté à l'unanimité
l'annulation de la délibération relative au retrait de la commune
du Syndicat Mixte de Restauration du Bérange.
Il convient d'émettre un avis sur cette demande d'annulation de retrait
du Syndicat.
Le conseil municipal, à l'unanimité, émet
un avis favorable ;
Ne prennent pas part au vote : | Néant | |
Abstentions : | Néant | |
Contre : | Néant | |
Pour : | 28 |
Affaire n° 10 : Service des sports - Vacataire
Madame SALLES présente l'affaire ;
Le service des sports est amené occasionnellement à utiliser les
services d'une personne compétente pour l'organisation de journées
à thèmes ou de manifestations sportives qu'elles soient municipales
ou associatives.
Je vous propose donc :
• de recruter une personne pour pallier le besoin du service dans
ce domaine aux conditions suivantes :
- Taux horaire : SMIC
- Base : Vacations - en fonction des heures travaillées
• de dire que les crédits nécessaires sont inscrits
au budget - chapitre 012
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette
affaire ;
Ne prennent pas part au vote : | Néant | |
Abstentions : | Néant | |
Contre : | Néant | |
Pour : | 28 |
Affaire n° 11 : Agents non titulaires - Taux de rémunération
Madame RUIZ rapporte l'affaire ;
Pour des besoins de service, ou dans le cadre de formations, la commune emploie
des agents non titulaires, des contrats emplois consolidés, et des emplois
jeunes.
Afin de valoriser le travail de ces agents, je vous propose de modifier les
conditions de rémunération de ces derniers comme suit :
• Taux horaire : 114 % du SMIC
Je vous demande également :
• D'autoriser Monsieur le Maire à passer les avenants aux
contrats de travail, ainsi qu'à prendre les arrêtés modificatifs
nécessaires.
• De dire que les crédits sont inscrits au budget - chapitre
012
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette
affaire ;
Ne prennent pas part au vote : | Néant | |
Abstentions : | Néant | |
Contre : | Néant | |
Pour : | 28 |
Affaire n° 12 : Collaborateur de cabinet - Rémunération
Monsieur ESPÉROU présente l'affaire ;
Je vous propose :
• de fixer la rémunération du Collaborateur de Cabinet
sur la base de l'indice brut 658.
• de dire que les crédits nécessaires sont inscrits
au Budget - Chapitre 012
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette
affaire ;
Ne prennent pas part au vote : | Néant | |
Abstentions : | Néant | |
Contre : | Néant | |
Pour : | 28 |
Affaire n° 13 : Régime indemnitaire - modification des délibérations des 13/12/2001 et 19/12/2002
Monsieur AVELINE présente l'affaire ;
Il est proposé :
• de compléter le régime indemnitaire comme suit :
Régime | Référence, conditions et bénéficiaires | Montant moyen annuel |
Prime pour services rendus | Décret 55-1002 du 26/07/1955 Bénéficiaires : Agent d'Entretien Qualifié |
551,18 € |
IAT | Décret n° 91-875 du 06/09/1991 Décret n° 2002-61 du 14/01/2002 Arrêté du 29/01/2002 Art. 88 alinéa 1 de la loi du 26/01/1984 Bénéficiaires : Cadre d'emplois des Agents d'entretien |
Selon les dispositions des décrets en vigueur |
Prime technique de l'entretien, des travauxet de l'exploitation |
Arrêté du 16/04/2002 Grade de contrôleur et Cadre d'emploi des |
Montant mini : 458 € Montant mini : Néant |
• d'octroyer le régime des IHTS à la filière
Police en application du décret n° 2002-60 du 14/01/2002
• de dire que :
- les taux et indices seront revalorisés en application
de la réglementation en vigueur
- les crédits nécessaires sont inscrits
au Budget - Chapitre 012
- Monsieur le Maire est autorisé à signer
les actes individuels relatifs à cette affaire
- Le délai de carence fixé dans la délibération
du 19 décembre 2002 est modifié comme suit :
Présence effective : délai de carence
de 15 jours cumulés par an pour maladie, au-delà, application
de la règle du prorata temporis
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette
affaire ;
Ne prennent pas part au vote : | Néant | |
Abstentions : | Néant | |
Contre : | Néant | |
Pour : | 28 |
Le maire a indiqué que cette délibération, complétée par les délibérations 11 (personnel non titulaire) et 12 (sa collaboratrice de cabinet, qui n'est pas employée territoriale) visait à permettre une augmentation substantielle de la rémunération du personnel municipal, de l'ordre de 150 € (1.000 F) à 275 € (1.800 F) net de plus par mois, selon les échelons, mais que ces augmentations se feraient sous forme de primes attribuées individuellement par arrêté du maire, ce qui lui permettra de les annuler à son gré par un autre arrêté s'il estime que le bénéficiaire n'a pas mérité cette prime.
L'ordre du jour étant épuisé, la séance est levée.
Le site de Bernard SUZANNE, ancien conseiller municipal
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