Présents :
M. DUDIEUZERE, M. GALTIER, Mme GARCIA, M. PONS, Mme PINEL, Mme NAVARRO, M. AVELINE, Mme RUIZ, M. BERETTI, Mme AUDRAN, M. MALANDAIN, Mme VEILLON, Mme GROLIER, Mme HERVE, M. COMBETTES, M. CLARET, Mme GONNET-MARTY, M. ESPEROU, M. VASSALLO, Mme BONNET, M. HERMET, Mme EDOUARD, M. TORRENT, M. SUZANNE
Représentés :
M. SEGUIN : pouvoir à Mme RUIZ ; M. LAURET : pouvoir à M. DUDIEUZERE ; Mme SALLES : pouvoir à M. BERETTI ; Mme OUFFE : pouvoir à Mme NAVARRO ; Melle BEYAERT : pouvoir à M. TORRENT
Absents ou excusés :
Néant
Le quorum étant atteint, Monsieur le Maire ouvre la séance. Monsieur Bernard GALTIER est élu secrétaire.
Question n°1 : Ordre du jour
L'ordre du jour suivant est adopté à l'unanimité :
(Pour aller directement à la partie du PV concernant une question qui vous intéresse, cliquez sur le numéro de cette question dans la colonne « Question n° » du tableau ci-dessous)
Question n° | Objet |
1. | Adoption de l'Ordre du Jour |
2. | Adoption du procès verbal n° 04/2002 |
3. | Décisions municipales n° 05 et 06/2002 |
4. | Installation classée - Association des Paralysés de France - Avis |
5. | Service Public Eau et Assainissement 2001- Rapport du délégataire |
6. | Club Taurin le Galoubet- Subvention exceptionnelle |
7. | Création d'un poste d'emploi jeune |
8. | Consultations électorales - travaux supplémentaires |
9. | Halte garderie les Petits Lutins - Nouvelle tarification |
10. | Élections Prud'homales - Désignation de membres à la commission communale |
11. | Programme voirie 2002-2003 - marché de maîtrise d'œuvre |
12. | Communauté d'agglomération - Commission d'évaluation de transferts des charges - désignation d'un membre |
13. | Plan de prévention des risques d'inondation - Avis |
14. | Mise en révision générale du Plan Local d'Urbanisme - mise en œuvre de la concertation |
15. | Plan Local d'Urbanisme - Révision d'urgence - mise en œuvre de la concertation |
16. | Compte Administratif 2001 |
Monsieur le maire donne lecture de la question
écrite de Monsieur HERMET, en date du 17 Juin 2002 (annexée
au présent procès verbal).
En réponse, il fait l'historique de la situation, et expose les raisons
pour lesquelles ce terrain ne peut être vendu au prix initial et rappelle
le souhait de la commune d'acquérir ce bien.
En ce qui concerne le doublement du CD 65, il semble que ce projet ne soit pas
possible, mais qu'il y aura vraisemblablement, selon les dires de la D.D.E.
et du Département, une déviation, et l'aménagement du Chemin
de Mauguio ; ces projets sont à échéance de 5, voire
7 ans.
« Monsieur le Maire répond également qu'à l'époque,
il avait rencontré Monsieur le Président du Conseil Général,
Gérard SAUMADE, et qu'il avait pris l'engagement que ces terrains seraient
classés lors de la prochaine révision du POS (PLU) en zone verte. »
(ce paragraphe ajouté lors de la validation
du PV le 12/09/2002 et approuvé le 24/10/2002)
Monsieur le maire donne lecture de la question écrite
de Monsieur HERMET, en date du 21 Juin 2002 (annexée
au présent procès verbal) ;
Il répond qu'en application de l'article L 2122 22 du Code Général
des Collectivités Territoriales, il dispose de la possibilité
de commander les aménagements et infrastructures du cimetière
(caveaux), selon le détail des dépenses d'investissement (annexe
au Budget remis aux conseillers municipaux) pour 8.689,59 € (57.000,00
F).
En ce qui concerne la vente des caveaux, il est répondu qu'il n'y a pas
de régie de recettes, puisque les sommes sont directement perçues
par le Receveur Municipal ; le prix est jusqu'à présent fixé
au coût réel, et pourra faire l'objet d'une décision de
l'assemblée ultérieurement.
Concernant les adjoints, Monsieur le Maire répond qu'il lui appartient
de déléguer les compétences de son choix à ses adjoints,
et qu'il leur fait entièrement confiance sur leurs domaines.
Sur l'évolution du projet d'agrandissement du cimetière, il est
répondu que la discussion avec Monsieur et Madame PRUDENT a été
difficile en raison de leur éloignement géographique, mais qu'un
accord de principe est conclu, conformément à l'évaluation
des Domaines, et à l'analyse pédologique qui est favorable.
Enfin, sur les interventions des prestataires de Pompes Funèbres, Monsieur
le Maire rappelle que la commune ne donne aucune consigne aux familles des défunts,
pour leur laisser le libre choix.
Monsieur CHALANCHE est intervenu 9 fois, soit 47 jours, Monsieur LUVISON est
intervenu 1 fois, soit 26 jours. Toutefois, il n'est pas possible que deux entreprises
interviennent en même temps (exiguïté des lieux, responsabilité).
Question n° 2 - Adoption du procès verbal n° 04/2002
Ce procès verbal est adopté à l'unanimité.
Question n° 3 - Décisions Municipales
Le conseil municipal prend acte des décisions municipales n°
05 et 06/2002.
Monsieur SUZANNE informe le Maire d'un recours pour illégalité
contre la décision n° 05/2002, hors champ de compétence de
l'article L 2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Sur l'objet de la décision n° 05/2002 et les raisons du recours de M. SUZANNE, voir les commentaires sur les décisions n° 12/2001 présentée au conseil municipal du 5 juillet 2001 et 22/2001 présentée au conseil municipal du 25 septembre 2001 et le dossier sur la condamnation pour diffamation des élus du groupe minoritaire. Sur les termes des délégations votées au maire sur lesquelles s'appuyaient ces décisions, voir le dossier sur les attributions du maire (les délégations en vigueur à la date de cette décision étaient celles votées le 27 mars 2001).
Note du 20 février 2007 : par jugement en date du 12 décembre 2006 (texte complet du jugement disponible en cliquant ici), le tribunal administratif de Montpellier a fait droit à la requête de M. SUZANNE et a annulé la décision n° 05/2002 du 28 mai 2002, considérant qu'elle n'entrait effectivement pas dans le cadre des délégations votées au maire par le conseil municipal. Pour les suites données à cette annulation, voir le procès-verbal du conseil municipal du 30 janvier 2007, question n° 9.
Question n° 4 - Installation classée - Association des Paralysés de France - Avis
Madame VEILLON présente l'affaire :
En application de l'arrêté préfectoral n° 2002-1-1493
du 26 mars 2002, une enquête publique s'est déroulée du
22 avril au 24 mai 2002 sur le projet présenté par l'Association
des Paralysés de France, soumis à la réglementation des
installations classées pour la protection de l'environnement.
En application de cette réglementation, il convient que le conseil municipal
émette un avis.
Le conseil municipal, à l'unanimité, émet
un avis favorable.
Question n° 5 - Service Public Eau et Assainissement 2001 - Rapport du délégataire
Sur rapport de Madame GARCIA, le conseil municipal prend acte des rapports des délégataires de service public Eau et Assainissement pour 2001, et Electricité pour 2001 (concession E.D.F.).
Question n° 6 - Club Taurin le Galoubet - Subvention exceptionnelle
Monsieur COMBETTES rapporte l'affaire :
Le club taurin le Galoubet doit participer à la manifestation organisée
à l'occasion de l'anniversaire des arènes municipales.
A ce titre, je vous propose de lui allouer une subvention exceptionnelle de
3.811,23 € (25.000 F).
Je vous demande également de dire que les crédits sont inscrits
au Budget Chapitre 65.
Le conseil municipal, par 24 voix pour et 5 abstentions (MM. HERMET,
SUZANNE, TORRENT, Mmes EDOUARD et BEYAERT), adopte cette affaire.
Question n° 7 - Création d'un poste d'emploi jeune
Sur proposition de Madame NAVARRO, le Conseil municipal, à
l'unanimité
• adopte l'ouverture d'un poste « emploi jeune »
Agent local de médiation
• dit également que les crédits nécessaires
sont inscrits au Budget Chapitre 012
Question n° 8 - Consultations électorales travaux supplémentaires
Madame PINEL présente l'affaire :
Il est exposé à l'assemblée délibérante que
les travaux supplémentaires à l'occasion des consultations électorales
seront rémunérés en heures supplémentaires de dimanche,
pour les agents relevant du régime de l'IHTS.
Concernant les agents relevant de l'IFTS, il y a lieu de délibérer
sur le principe de ce versement, et de fixer le crédit global pouvant
être alloué à ces agents.
Ce crédit global est défini selon la règle suivante :
Crédit global | = | Valeur maximum de l'IFTS mensuelle des Attachés |
x | Nombre de bénéficiaires | x | Nombre de consultations |
La somme individuelle est au plus égale à un quart de l'IFTS
annuelle maximum ; la répartition sera effectuée par l'autorité
territoriale.
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette affaire.
Question n° 9 - Halte garderie les Petits Lutins - Nouvelle tarification
Madame GONNET MARTY rapportel'affaire :
Une participation est demandée aux parents. Son taux horaire est établi
au moment de l'inscription, en fonction des barèmes de la CAF, et des
revenus des parents.
Pièces à fournir :
• Photocopie du dernier avis d'imposition ou de non imposition
• photocopie des 3 derniers bulletins de salaire
Un tarif forfaitaire à la demi journée est ainsi établi
sur la base de 3 heures pour une ouverture de 4 heures.
Une carte nominative de 8 demi journées estvendue à la Halte Garderie.
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette affaire.
Question n° 10 - Élections Prud'homales - Désignation de membres à la commission communale
Monsieur BERETTIrapporte l'affaire :
En application du décret n° 2002-395 du 22 mars 2002, le conseil
municipal doit procéder à la désignation d'un électeur
employeur et d'un électeur salarié pour siéger au sein
de la commission communale constituée à l'occasion des élections
prud'homales.
Je vous demande de bien vouloir en délibérer.
Le conseil municipal, à l'unanimité, désigne :
Pour les Employeurs :
Madame BELMONTE ; Pour les Salariés : Monsieur
Samuel LACAZE
Question n° 11 - Programme voirie 2002-2003 - marché de maîtrise d'oeuvre
Monsieur PONS présente l'affaire :
Afin de permettre l'étude et la réalisation du programme voirie
2002-2003, je vous propose :
• d'adopter le marché de maîtrise d'oeuvre à
passer avec le Cabinet PROJETEC SUD, aux conditions suivantes :
Enveloppe prévisionnelle des travaux. | 413.000 € H.T | ||
Taux de rémunération | 7,90% | ||
Forfait provisoire de rémunération | 32.627 € H.T |
Je vous demande également :
• de dire que les crédits sont inscrits au Budget, Chapitre
23
• d'autoriser Monsieur le Maire à signer le présent
marché.
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette affaire.
Question ° 12 - Communauté d'agglomération - Commission d'évaluation de transferts des charges - désignation d'un membre
Monsieur le Maire rapporte l'affaire :
L'article 86 de la loi n° 99-586 du 12 juillet 1999 a organisé la
procédure d'évaluation des transferts de charges entre les communes
et l'E.P.C.I. à fiscalité propre dans le cadre du régime
de la Taxe Professionnelle unique. Cette procédure est codifiée
au Code Général des Impôts (article 1609 nonies C IV)
La loi dispose qu'une commission est créée entre les communes
et la Communauté d'Agglomération afin de valoriser les transferts
de compétences réalisés et ainsi permettre un juste calcul
des attributions de compensation.
Elle est amenée à se prononcer :
• l'année de passage en Taxe Professionnelle Unique
• lors de tout transfert de charges ultérieur
Les membres de cette commission doivent être désignés parles
conseils municipaux en leur sein.
Un conseiller municipal siégeant au Conseil de Communauté peut
également être membre de cette commission.
Composition de cette commission
La Commission d'évaluation des transferts de charges de la Communauté
d'Agglomération de Montpellier est composée de 90 membres désignés
en leur sein par les conseils municipaux. La répartition des sièges
entre les communes s'effectue selon des modalités identiques à
celle de la représentation au conseil de communauté, à
la représentation proportionnelle de la population. Chaque commune devant
bénéficier d'un représentant, aucune commune ne pouvant
avoir plus de la moitié des sièges. Le nombre de délégués
par conseil municipal au sein de la commission est égal au nombre de
sièges que possède la commune au conseil de la Communauté
d'Agglomération de Montpellier.
Chaque commune a la possibilité de désigner autant de suppléants
qu'elle a de titulaires - notre commune disposera donc d'un représentant,
et a la possibilité d'élire un suppléant.
Règlement intérieur de la Commission
La commission est convoquée à sa première séance
par le Président de la Communauté d'Agglomération de Montpellier.
La commission élit, dès sa première réunion, un
Président et un Vice Président.
Elle élit également à cette même séance, en
son sein, un groupe de pilotage de 38 membres, qui a pour objectif d'élaborer
le rapport qui sera soumis au vote de la commission.
La commission peut faire appel à un expert indépendant.
Le projet de rapport, élaboré par le groupe de pilotage, est soumis
à la commission qui en débat et doit l'approuver à la majorité
simple.
Le rapport établit, commune par commune, le coût net des charges
transférées à la Communauté d'Agglomération
et le cas échéant, des charges transférées aux communes.
Le président de la Communauté d'Agglomération saisit immédiatement
les conseils municipaux des communes membres, qui ont un mois pour se prononcer
sur le rapport le la Commission d'évaluation des transferts de charges
de la Communauté d'Agglomération de Montpellier.
L'approbation de ce rapport est soumise aux conditions habituelles de majorité
qualifiée des conseils municipaux (2/3 des conseils municipaux représentant
plus de 50 % de la population ou 50 % des conseils municipaux représentant
plus de 2/3 de la population) prévues par l'article L. 521-5-II du Code
Général des Collectivités Territoriales.
Une fois ce rapport approuvé, le montant des attributions de compensation
est recalculé commune par commune.
Il est proposé au conseil municipal de bien vouloir :
• désigner comme représentant titulaire à cette
commission, Monsieur Pierre DUDIEUZERE
Le conseil municipal, par 29 voix pour, adopte cette affaire.
Question n° 13 - Plan de prévention des risques d'inondation - Avis
Monsieur, ESPEROU présente l'affaire :
I1 est exposé au Conseil municipal, qu'en application des lois : • du
22 juillet 1987 relative à l'information des citoyens sur les risques
• du 3 janvier 1992 sur l'eau • du 2 février 1995
sur la protection de l'environnement, du décret du 5 octobre 1995 relatif
au Plan de Prévention des Risques Naturels Prévisibles (PPRNP),
Monsieur le Préfet de l'Hérault a arrêté le 7 février
2001 le Plan de Prévention des Risques d'inondations sur les communes
d'ASSAS, GUZARGUES, JACOU, LE CRÈS, TEYRAN et VENDARGUES dont le projet
a été communiqué à la commune, le 24 mai 2002 pour
avis avant enquête publique, et approbation par arrêté préfectoral.
Après avis de la commission d'urbanisme, et après avoir pris connaissance
du projet, le conseil est appelé à émettre un avis favorable.
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette affaire.
Question n° 14 - Mise en révision générale du Plan Local d'Urbanisme - mise en oeuvre de la concertation
Monsieur AVELINE présente l'affaire :
La loi « Solidarité et renouvellement urbain »
donne l'occasion de repartir sur une nouvelle forme de document d'urbanisme,
et de réfléchir au développement durable de la commune,
ainsi qu'aux zones d'urbanisation inscrites dans le Plan d'Occupation des Sols
actuel, qui date de 1980.
Les objectifs de la révision du P.L.U. se fondent notamment par :
• l'appréhension d'un urbanisme de renouvellement, compte
tenu de l'obsolescence du documents d'urbanisme actuel
• une meilleure répartition des fonctions urbaines constituant
le cadre de vie des Vendarguois
• la prise en compte du bâti existant de façon structurante
• la mixité des espaces urbanisés, sans discrimination,
eu égard aux besoins actuels et futurs des habitants ou des usagers
• les problématiques d'aménagement, de développement
durable et de cohérence des territoires
• la valorisation du patrimoine compris dans un concept de ville
émergente, sur un espace aggloméré plus vaste
• le souci de préservation économe du territoire, des
ressources, des milieux naturels
• les équilibres socio économiques durables et solidaires
prenant en considération des éléments rationnels, relatifs
notamment à l'habitat, l'emploi, l'environnement et les transports.
Toutes ces modifications portant atteinte à l'économie générale
du document d'urbanisme actuel, il convient d'utiliser la procédure de
révision.
Considérant donc :
• qu'il y a lieu de mettre en révision ce document sur l'ensemble
du territoire communal, conformément aux articles L123-1 et L123-13,
dans les formes prévues aux articles L123-6 à L123-12 du Code
de l'Urbanisme
• qu'il y a lieu d'engager la concertation sur la révision
du Plan Local d'Urbanisme pendant toute la durée de l'élaboration
du projet, conformémentaux articles L123-6 et L300-2 nouveau du Code
de l'Urbanisme,
Je vous propose
Conformément à l'article L123-6 du Code de l'Urbanisme, cette
délibération est notifiée :
• au Préfet
• au Président du Conseil Régional
• au Président du Conseil Général
• au Président de l'établissementpublic chargé
du schéma de cohérence territorial
• aux représentants de l'autorité compétente
en matière de transports urbains
• au Président de la Chambre de Commerce et d'Industrie
• au Président de la Chambre des Métiers
• au Président de la Chambre d'Agriculture
Conformément aux articles R123-24 et R123-25 du Code de l'Urbanisme,
cette délibération sera affichée en Mairie pendant un mois.
Une mention de cet affichage sera insérée en caractères
apparents dans un journal du Département.
Cette délibération sera en outre publiée au recueil des
Actes Administratifs mentionné à l'article R2121-10 du Code Genéral
des Collectivités Territoriales.
Le conseil municipal, à l'unanimité, adopte cette affaire.
Question n° 15 - Plan Local d'Urbanisme - Révision d'urgence - mise en œuvre de la concertation
Madame VEILLON présente l'affaire :
Indépendamment de la procédure globale de révision du P.L.U.
qui vient d'être prescrite, il convient de procéder à une
révision d'urgence en vue de permettre l'extension des entrepôts
que la société SYSTEME U exploite sur la commune, Chemin de Bannières.
Dans le cadre de cette procédure d'urgence, il convient donc de délibérer
sur les modalités d'organisation de la concertation de la population.
En application de la loi 2000-1208 du 13 décembre 2000, relative à
la solidarité et au renouvellement urbain, et notamment l'article L123-13
du Code de l'Urbanisme, ainsi que des articles L123-6 et L300-2 du même
code, je vous propose :
Le conseil municipal, après débat entre les élus, adopte à l'unanimité cette affaire.
Question n° 16 - Compte Administratif 2001
Monsieur GALTIER, 1" Adjoint, prend la présidence de l'assemblée ; Monsieur le Maire quitte la salle.
Le compte administratif retrace les recettes et les dépenses effectives d'une année, par opposition au budget, qui présente des prévisions. Le compte administratif tenu par le service comptable de la mairie décrit les recettes et dépenses mandatées par le maire, alors que le compte de gestion du percepteur (qui est le dépositaire des fonds de la commune) décrit les mouvements effectifs de fonds résultant de ces mandatements. Le vote du compte administratif représente le quitus donné au maire pour sa gestion, et le Code général des collectivités territoriales prévoit qu'il doit être voté hors la présence du maire, qui doit donc quitter la salle au moment du vote et confier la présidence du conseil à un adjoint. Pour voter le compte administratif, le conseil doit avoir le compte de gestion du percepteur gestionnaire des deniers de la commune, et vérifier l'identité entre les deux. Le Code général des collectivités territoriales prévoit que ce vote doit intervenir avant le 30 juin de l'année qui suit celle dont on arrête les comptes. Le compte administratif fait le plus souvent apparaître des « restes à réaliser », c'est-à-dire des recettes et des dépenses budgétées mais non encore réalisées, qui donneront lieu, via le budget supplémentaire, à reports dans le budget de l'année suivante.
Madame RUIZ rapporte l'affaire :
Le Compte Administratif 2001, conforme au Compte de Gestion de Monsieur le Receveur
Municipal, se présente comme suit :
Section de Fonctionnement
Total des recettes | 43.811.559,54 F | |
Total des dépenses | 30.305.452,77 F | |
Excédent Brut | 13.506.106,77 F |
Section d'Investissement
Réalisé | Reste à réaliser | |||
Total des recettes | 19.987.209,27 F | 16.689.000,00 F | ||
Total des dépenses | 35.211.134,90 F | 11.499.314,00 F | ||
Excédent | / | 5.189.686,00 F | ||
Déficit | 15.229.925,63 F | / |
Besoin de financement de la section : 10.040.239,63 F
Excédent net : 3.465.867,14 F
Principales réalisations | |||||||||||
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Je vous propose :
• d'affecter au chapitre 10 compte 1068 la somme de 10.040.239,63
F
• de reprendre au compte 002 1e solde, pour un montant de 3.465.897,14
F
Le conseil municipal, par 24 voix pour et 5 contre (MM.HERMET, SUZANNE,
TORRENT, Mmes EDOUARD et BEYAERT), adopte le Compte Administratif 2001.
L'ordre du jour étant épuisé, la séance est levée.
Le site de Bernard SUZANNE, ancien conseiller municipal
de VENDARGUES (Hérault) Accueil - Actualité - Dossiers - Documents - PV des CM - Aide Liens utiles - Qui suis-je - Me contacter Dernière mise à jour le 20 février 2007 |