Le budget 2005 de Vendargues

Dans les tableaux qui suivent, les chapitres et postes comptables ne sont pas classés selon leur ordre de numérotation (celui du budget), mais dans leur ordre d'importance décroissante en montant, pour permettre de plus facilement apprécier l'importance relative des divers types de dépenses et de recettes.
Les montants ont été arrondis à l'euro le plus proche.
Les chiffres du budget 2005, qui constituent des prévisions, sont comparés aux chiffres du budget 2004 (BP, les prévisions pour 2004) et aux chiffres du compte administratif 2004 (CA), c'est-à-dire aux dépenses et recettes réelles de 2004.
Cette année, le budget a été voté en deux temps : vote du budget primitif lors du conseil municipal du 31 mars 2005, avant vote du compte administratif 2004, puis vote d'un budget supplémentaire lors du conseil municipal du 12 mai 2005 dans lequel a aussi été voté le compte administratif 2004, pour ajouter au budget 2005 d'une part l'affectation des résultats de 2004 (autofinancement pour équilibrer le besoin de financement constaté pour la section d'investissement, report de l'excédent de fonctionnement restant et report des restes à réaliser sur les investissements de 2004). Les tableaux ci-dessous présentent le budget 2005 tel qu'il ressort après vote du budget supplémentaire.

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Budget de fonctionnement : synthèse

Dépenses

Compte Libellé BP+BS 2005 % du
total
CA
2004
variation
en %
BP
2004
variation
en %
  DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT 7 724 445   5 775 945 + 33,7 % 7 669 337 + 0,7 %
012 Charges de personnel et frais assimilés 3 334 445 43,2 % 2 988 794 + 11,6 % 3 080 000 + 8,3 %
011 Charges à caractère général 2 213 000 28,6 % 1 965 985 + 12,6 % 2 021 337 + 9,5 %
023 Virement à la section d'investissement 826 000 10,7 %     1 010 000 - 8,2 %
65 Autres charges de gestion courante 590 000 7,6 % 456 411 + 29,3 % 555 000 + 6,3 %
66 Charges financières 315 000 4,1 % 258 941 + 21,6 % 315 000 =
67 Charges exceptionnelles 306 000 4 % 43 756   518 000  
68 Dotations aux amortissements et provisions 140 000 1,8 % 62 058   170 000  
  Dont dépenses réelles de fonctionnement (+) 6 758 445          

(+) Les dépenses réelles de fonctionnement incluent les chapitres 011, 012, 65, 66 et 67

Recettes

Compte Libellé BP+BS 2005 % du
total
CA
2004
variation
en %
BP
2004
variation
en %
  RECETTES DE FONCTIONNEMENT 7 724 445   7 611 050 + 1,5 % 7 669 337 + 0,7 %
74 Dotations, subventions, participations 3 430 000 44,4 % 3 628 449 - 5,5 % 3 421 000 =
73 Impôts et taxes 2 720 000 35,2 % 2 474 607 + 9,9 % 2 508 035 + 8,5 %
002 Excédent ordinaire reporté 705 445 9,1 % 898 302 - 21,5 % 898 302  
77 Produits exceptionnels 500 000 6,5 % 62 753   486 000 + 2,9 %
70 Ventes de produits et services 200 000 2,6 % 223 178 - 10,4 % 179 000 + 11,7 %
75 Autres produits de gestion courante 89 000 1,2 % 186 381   70 000  
66 ICNE (intérêts courus non échus) 75 000 1 % 77 370 - 3,1 % 77 000  
64 Remb. sur rémunérations SS et CNP 5 000   59 982   30 000  
76 Produits financiers     28      
  Dont recettes réelles de fonctionnement (+) 6 939 000          

(+) Les recettes réelles de fonctionnement incluent les chapitres 70, 73, 74, 75 et 77

Lors du vote du budget primitif, avant prise en compte des résultats du compte administratif 2004, le budget de fonctionnement 2005, d'un montant de 7.019.000 €, semblait en baisse par rapport à celui de 2004. Mais cette apparente baisse était due au fait qu'en 2004, le budget primitif avait été voté en même temps que le compte administratif 2003, ce qui avait permis d'y inclure tout de suite les reports d'excédents de 2003 (compte 002). Cette année, ces reports n'ont été pris en compte que lors du vote d'un budget supplémentaire, après le vote du compte administratif 2004. Le budget supplémentaire a intégré en recettes 705 445 € d'excédent reporté (compte 002) et a inclus en dépense l'intégralité de cette somme au chapitre 012, « charges de personnel », pour arriver à un budget qui est en hausse par rapport à 2004. Le chapitre 012, estimé dans le budget primitif à 2 629 000 €, était alors en baisse de 12 % par rapport aux dépenses de personnel de 2004, déjà connues alors, même si les comptes 2004 n'étaient pas formellement arrêtés. Mais, comme l'avait indiqué le maire lui-même lors du vote du budget primitif 2005, cette estimation artificielle n'était possible que parce qu'il savait déjà qu'il disposerait après le vote du compte administratif d'un excédent de fonctionnement suffisant pour rééquilibrer son budget de personnel. Et de fait, celui-ci est au final en accroissement de 11,6 % par rapport au consommé 2004.

Le produit de l'augmentation des taux des impôts locaux est de 125.272 € (différence entre l'application des taux 2005 et des taux 2004 sur les bases 2005 communiquées par l'administration fiscale). La réduction de l'autofinancement (compte 023 des dépenses de fonctionnement) prévu au budget 2005 par rapport à celui prévu au budget 2004, c'est-à-dire de l'excédent de recettes de fonctionnement sur les dépenses de fonctionnement disponible pour financer les investissements, est de 184.000 €, soit plus que le produit de l'augmentation des taux. En d'autres termes, cette augmentation, contrairement à ce que prétend le maire, ne sert pas à financer les investissements, mais uniquement à couvrir un accroissement de dépenses de fonctionnement sur le chapitre 011, « charges à caractère général », qui augmente de 191.663 €, soit 9,5 %, par rapport au BP 2004, ou sur le chapitre 012, « charges de personnel », qui augmente de 254 445 €, soit 8,3 % par rapport au BP 2004.

Budget d'investissement : synthèse

Pour le budget d'investissement, plus que l'analyse détaillée de chaque poste, ce qui compte, c'est de lister les investissements prévus par domaine d'activité de la commune (ce que les règles de la comptabilité publique appellent les « fonctions »). De plus, les principes de la comptabilité publique obligent à des écritures qui masquent dans les tableaux de synthèse la réalité des investissements effectifs d'une année. Seuls quelques postes des tableaux ci-dessous seront donc détaillés. Par contre, vous trouverez dans la suite une explication générale de la section d'investissement et un tableau des investissements planifiés par fonction.

Depuis le budget d'investissements 2004, le maire a décidé d'isoler dans deux « chapitres » budgétaires spécifiques le budget de la future ZAC Georges Pompidou (chapitre 2004/01) et celui des travaux hydrauliques de protection contre les inondations (chapitre 2004/02). Ce choix comptable autorisé par la loi permet, pour certains grands projets, de donner la priorité, dans la présentation du budget, au programme d'investissements concerné sur la nature des dépenses pour mieux isoler le programme et le suivre. Et il interdit au maire, dès lors que le budget est voté par « chapitres », de transférer une partie des crédits affectés à chaque programme ainsi isolé vers d'autres investissements sans un vote du conseil municipal (décision modificative). Mais, dans chaque « chapitre » budgétaire ainsi créé, les dépenses et les recettes restent suivies par nature, sous des codes comptables correspondant aux chapitres comptables du budget par nature utilisé pour le reste des opérations, dont les chapitres 20, 21 et 23 pour les dépenses. Ainsi, pour 2005, les dépenses prévues pour la ZAC sont, comme c'était déjà le cas en 2004, des frais d'étude (chapitre 20, code 2031). Celles prévues pour les travaux hydrauliques se répartissent entre les chapitres comptable 20 (étude du bassin de rétention du Teyron, pour 70 000 €), 21 (acquisitions de terrains, pour 360 000 €) et 23 (les travaux proprement dits, sur le bassin du Bourbouisse nord, pour 160 000 €, et sur le bassin du Teyron, pour 1 320 000 €).

Dépenses

Cpte Libellé BP+BS 2005 REPORT
2004
TOTAL 2005 BP 2004 var.
en %
  DÉPENSES D'INVESTISSEMENT 6 049 845 1 210 000 7 259 845 4 387 900 + 65,2 %
2004/02 Prévention inondations 1 910 000 690 000 2 600 000 753 000 + 245,3 %
23 Immobilisations en cours 1 662 500 336 000 1 998 500 1 857 250 + 7,6 %
001 Déficit reporté 1 219 845   1 219 845 642 900  
16 Emprunts et dettes assimilées 735 000   735 000 682 000 + 7,8 %
20 Immobilisations incorporelles 191 400 154 000 345 400 243 000 + 42,1 %
21 Immobilisations corporelles 206 100 20 000 226 100 199 750 + 13,2 %
19 Différences sur réalisation d'immobilisations 100 000   100 000    
2004/01 ZAC Pompidou 20 000 10 000 30 000 10 000 + 200 %
26 Participations et créances 5 000   5 000 0  

Recettes

Cpte Libellé BP+BS 2005 REPORT
2004
TOTAL 2005 BP 2004 var.
en %
  RECETTES D'INVESTISSEMENT 5 959 660 1 300 185 7 259 845 4 387 900 + 65,2 %
2004/02 Prévention inondations (chapitre 16 : emprunt) 1 901 000 753 000 2 654 000 753 000 +252,5%
10 Dotations et fonds divers et réserves 1 289 660   1 289 660 842 099 + 53,1 %
16 Emprunts et dettes assimilées 943 000 245 000 1 188 000 895 000 + 32,7 %
13 Subventions d'investissement 560 000 302 185 862 185 311 185 + 177,1 %
021 Virement de la section de fonctionnement 826 000   826 000 1 010 000 - 18,2 %
19 Différences sur réalisation d'immobilisations 300 000   300 000    
28 Amortissement des immobilisations 140 000   140 000 70 000 + 100 %
21 Cessions d'immobilisations corporelles       502 500  
23 Immobilisations en cours       4 116  

Les investissements réels (chapitres 20, 21 et 23, plus les deux chapitres 2004/01 et 2004/02) sont budgétés (reports 2004 inclus) pour 5 200 000 €, soit une augmentation de 69,8 % par rapport aux investissements réels budgetés en 2004 (reports 2003 compris, soit 3 063 000 €). Les dépenses consacrées à la prévention des inondations représentent à elles seules 51 % des investissements, soit plus de la moitié.

En recettes, la part issue de l'emprunt se monte à 3 842 000 €, soit 73,9 % du budget réel d'investissement. L'autofinancement (poste 021), pour un montant de 826 000 €, ne représente que 15,9 % de ce budget, mais la plus grosse partie de cette somme sert en fait à rembourser la part de capital des annuités d'emprunts, qui se monte en 2005 à 653 538 € (voir état de la dette ci-dessous) et ne fait pas partie des dépenses réelles d'investissement, ce qui veut dire qu'il ne contribue qu'à hauteur de 172 462 € (826 000 € - 653 538 €), soit 3,3 %, aux investissements nouveaux. Enfin les subventions, pour 826 185 €, couvrent 15,9 % de ce budget.

Données de synthèse

Les ratios de la commune

Ces ratios donnent une idée de l'importance des divers poste du budget en les divisant par le nombre d'habitant (valeur par habitant) ou en les exprimant en pourcentage d'autres composantes du budget (par exemple, telle catégorie de dépenses par rapport à telle catégorie de recettes), ce qui permet un comparaison avec d'autres communes. On trouve sur le site du Ministère de l'intérieur, dans la section consacrée aux données chiffrées des collectivités locales, les moyennes de ces ratios et d'autres pour la France, mais aussi par région et en fonction de la tranche de population de la commune (dernière année disponible : 2002). Nous avons repris ici, à côté des rations 2005 de VENDARGUES (population 2005 : 5 259 habitants), les moyennes 2002 pour les communes de 5 000 à 10 000 habitants en Languedoc-Roussillon et dans la France métropolitaine dans son ensemble.

Libellé du ratio VENDARGUES
Moyenne 2002 des communes
de 5.000 à 10.000 habitants
(en euros)
2005 2004
(rappel)
Région
Languedoc
France
métropolotaine
1. Dépenses réelles de fonctionnement/habitant
1 285,12
1 226,72
1 000
829
2. Produit des impôts directs/habitant
480,13
436,11
419
376
3. Recettes réelles de fonctionnement/habitant
1 334,66
1 265,41
1 148
999
4. Dépenses d'équipement brut/habitant
758,70
446,50
291
258
5. Encours de la dette /habitant
1 192,57
1 095,32
1 198
869
6. Dotation globale de fonctionnement/habitant
76,06
81,29
195
170
7. Dépenses de personnel/dépenses réelles de fonct.
49,34 %
47,46 %
49,1 %
49,6 %
9. Dépenses réelles de fonct.+dette/recettes réelles de fonct. (*)
107,99 %
102,8 %
94,3 %
10. Dépenses d'équipement brut/recettes réelles de fonct. (**)
56,85 %
25,3 %
25,8 %
11. Encours de la dette/recettes réelles de fonct. (***)
89,35 %
104 %
87 %

(*) Le ratio 9, encore appelé « marge d'autofinancement courant », mesure le rapport entre les charges courantes augmentées de l'annuité de la dette et les recettes courantes. Un ratio supérieur à 100 exprime que l'annuité de la dette n'est pas totalement financée par les recettes courantes.

(**) Le ratio 10, encore appelé « taux déquipement », compare l'effort d'équipement brut (les investissements réels) aux recettes réelles de fonctionnement.

(***) Le ratio 11, encore appelé « poids de la dette » permet de mesurer le poids de la dette en nombre d'années de recettes courantes : un ratio de 100 % voudrait dire que le montant de la dette de la commune représente exactement une année de recettes courantes (les recettes réelles de fonctionnement) ; un ratio de 150 % voudrait dire que la dette représente un an et demi de recettes courantes, etc.

Pour interpréter ces ratios, il est important de se souvenir qu'ils sont ici calculés sur des budgets, c'est-à-dire sur des prévisions, et que les références fournies par le ministère de l'intérieur sont en décalage de trois ans par rapport aux chiffres de l'année pour la commune (ici, référence 2002 pour le budget 2005).
Le ratio 1, dépenses réelles de fonctionnement par habitant, progresse de 4,8 % par rapport à l'an dernier et il est nettement supérieur au ratio moyen des commune de la région, même ajusté pour tenir compte de l'inflation, qui est de 1.056 € par habitant (1.000 € de 2002 égale 1.056 € de 2005). Le ratio 7 montre que la commune dépense légèrement plus en frais de personnel que la moyenne des communes de la région, en pourcentage d'un budget de fonctionnement qui est lui-même plus important que celui de la moyenne des communes comparables de la région. Si, comme on l'a fait dans les commentaires des rations de 2004, on calcule le montant théorique consacré au personnel par une commune de même nombre d'habitants qui respecterait exactement les ratios de la région, on arrive à un budget « personnel » de 2.726.770 € (1.000 € de 2002 de dépenses réelles de fonctionnement par habitant, soit 1.056 € de 2005, multiplié par 5.259 habitants à Vendargues, chiffre annoncé par le budget 2005, conduit à des dépenses réelles de fonctionnement de 5.553.504 € ; 49,1 % de cette somme pour les dépenses de personnel fait 2.726.770 €) à comparer aux 3.334.445 € budgetés pour 2005, ce qui veut dire que le budget « personnel » de Vendargues est supérieur de 22,3 % à cette moyenne théorique.

Ce que ces ratios confirment, c'est que Vendargues est plus « riche » que la moyenne des communes similaires de la région (1.334,66 € de recettes réelles de fonctionnement par habitant, à comparer à 1.148 € de 2002, soit 1.212 € de 2005 pour la moyenne régionale des communes de même taille), ce qui n'empêche pas le maire de continuer à augmenter les impôts locaux.

C'est sans doute ce qui explique que l'endettement de la commune ne soit pas excessif et représente moins d'un an de recettes de fonctionnement (ratio 11), et que donc Vendargues puisse se permettre cette année un effort d'investissement important (ratios 4 et 10).

L'endettement de la commune

Total du capital emprunté sur les emprunts en cours au 1/1/2005 9 806 708 €
Total du capital restant dû sur ces emprunts au 1/1/2005 6 271 740 €
Total des échéances à payer en 2005 au titre de ces emprunts 878 182 €
Part de capital remboursé sur ces échéances 653 538 €
Part d'intérêts sur ces échéances 224 644 €

État du personnel municipal titulaire au 1/1/2005

Grade ou emploi Catégorie Budget Effectif Dont
temps
partiel
Filière administrative   19 17 2
Directeur général des services
Attaché territorial
Rédacteur chef
Rédacteur
Adjoint administratif principal de 1ère classe
Adjoint administratif
Agent administratif qualifié
Agent administratif qualifié (temps non complet 28h)
Agent administratif
gent administratif (temps non complet 17h30)
A
A
B
B
C
C
C
C
C
C
1
1
1
1
2
2
4
1
5
1
1
1
1
0
2
2
3
1
5
1
 
 
 
 
 
 
 
1
 
1
Filière animation   3 3  
Animateur territorial
Agent d'animation
B
C
1
2
1
2
 
 
Filière culturelle   1 1 1
Bibliothécaire (temps non complet 23h)
A
1
1
1
Filière police   6 5  
Chef de service de police
Chef de police
Brigadier chef principal
Gardien de police
B
C
C
C
1
1
3
1
0
1
3
1
 
 
 
 
Filière médico-sociale   18 15 3
Puéricultrice cadre de santé
Infirmière classe supérieure (temps non complet 25 h)
Infirmière de classe normale (temps non complet 25h)
Agent spécialisé école maternelle 1ère classe
Agent spécialisé école maternelle 2ème classe
Auxiliaire de puériculture chef
Auxiliaire de puériculture principal
Auxiliaire de puériculture principal (temps non complet 31h30)
Auxiliaire de puériculture
Auxiliaire de puériculture (temps non complet 31h30)
A
B
B
C
C
C
C
C
C
C
1
2
1
7
2
1
1
1
1
1
1
1
1
6
2
1
1
0
1
1
 
1
1
 
 
 
 
 
 
1
Filière sportive   1 1  
Éducateur activités physiques et sportives 2ème classe
B
1
1
 
Services techniques   58 54 17
Contrôleur des travaux en chef
Contrôleur principal
Agent de maîtrise
Agent technique chef
Agent technique principal
Chef de garage
Conducteur spécialisé 1er niveau
Agent de salubrité chef
Agent d'entretien qualifié
Agent d'entretien qualifié (temps non complet 31h30)
Agent d'entretien qualifié (temps non complet 29h)
Agent d'entretien qualifié (temps non complet 19h)
Agent d'entretien
Agent d'entretien (temps non complet 31h30)
Agent d'entretien (temps non complet 28h)
Agent d'entretien (temps non complet 26h15)
Agent d'entretien (temps non complet 24h30)
Agent d'entretien (temps non complet 22h30)
Agent d'entretien (temps non complet 17h30)
B
B
C
C
C
C
C
C
C
C
C
C
C
C
C
C
C
C
C
1
1
1
2
4
1
1
1
9
1
1
1
17
1
7
2
3
1
3
0
1
1
2
4
1
0
1
9
1
1
1
17
1
5
2
3
1
3
 
 
 
 
 
 
 
 
 
1
1
 
 
1
5
2
3
1
3
Total au 16/04/2004   106 96 24
(Pour mémoire : total au 1/1/2003)   (111) (97) (25)

État du personnel municipal non titulaire au 1/1/2005

NON TITULAIRES - OCCASIONNELS - SAISONNIERS
Grade ou emploi Catégorie Effectif
budgétaire
Rémunérationl
Collaborateur de cabinet
Auxiliaire de puériculture (temps non complet 25 h)
Agent d'entretien (temps non complet 16 h)
Agent d'entretien
Agent administratif
Agent d'animation
A
C
C
C
C
C
1
1
1
3
1
7
IB 658
IB 251
114 % SMIC
IB 245
IB 245
IB 245
VACATAIRES
Typologie d'emploi Service Postes
ouverts
Date de
création
Chauffeur occasionnel de bus communal Communication 1 22/04/2004
Surveillant occasionnel de sortie des écoles Police 1 02/03/2004
Coordonnateur de manifestations sportives Sport 1 16/07/2003
AGENTS DE DROIT PRIVÉ
Typologie de contrat Servicer Contrats
en cours
Date initiale
d'embauche
Emploi jeune Police 1 01/08/2002
Contrat emploi consolidé Communication 1 01/10/2001
Contrat emploi consolidé Activités éco. 1 01/07/2003
Contrat emploi consolidé Internet 1 01/11/2001
Contrat emploi consolidé Technique 1 11/06/2001
Contrat emploi consolidé Social 1 01/09/2000

Budget de fonctionnement : détail

Charges à caractère général (011)

Compte Libellé BP 2005 % du
total
CA 2004 variation
en %
BP 2004 variation
en %
011 Charges à caractère général 2 213 000 (28,6 %) 1 965 985   2 021 337 + 9,5 %
60612 Énergie électricité 240 000 10,8 % 245 528 - 2,3 % 200 000 + 20 %
611 Sous traitance générale 210 000 9,5 % 108 683 + 93,2 % 210 000 =
616 Primes d'assurances 200 000 9 % 168 261 + 18,9 % 130 000 + 53,8 %
61522 Entretien et reparation sur bâtiments 170 000 7,7 % 172 326 - 1,3 % 160 000 + 6,25 %
6232 Fêtes et cérémonies 140 000 6,3 % 248 117 - 43,6 % 120 000 + 16,7 %
61521 Entretien et reparation sur terrains 130 000 5,9 % 36 021 + 260,9 % 130 000 =
  Total des 6 premiers postes (environ 50 % du 011) 1 090 000 49,3 %        
60623 Alimentation 130 000 5,9 % 133 495 - 2,6 % 120 000  + 8,3 %
60611 Eau et assainissement 110 000 5 % 65 752 + 67,3 % 110 000
6132 Location Immobilière 100 000 4,5 % 92 384 + 8,2 % 88 000  + 13,6 %
6067 Fournitures scolaires 70 000 3,2 % 37 711 + 85,6 % 65 000 + 7,7 % 
61523 Entretien et reparation voies & réseaux 60 000 2,7 % 53 657 + 11,8 % 60 000  =
6227 Frais d'actes & de contentieux 50 000 2,3 % 30 843 + 62,1 % 120 000 - 58,3 %
60633 Fournitures de voirie 50 000 2,3 % 47 856 + 4,5 % 50 000 =
  Total des 13 premiers postes (environ 75 % du 011) 1 660 000 75 %        
6262 Frais de télécommunications 45 000 2 % 47 732 - 5,7 % 40 000 + 12,5 %
60632 Fournitures de petit équipement 41 500 1,9 % 53 541 - 22,5 % 40 000 + 3,75 %
61558 Entretien autres biens mobiliers 40 000 1,8 % 35 833 + 11,6 % 40 000
61551 Entretien matériel roulant 40 000 1,8 % 36 156 + 10,6 % 25 000 + 60 %
6064 Fournitures administratives 40 000 1,8 % 49 454 - 19,1 % 25 000 + 60 %
63512 Taxes foncières 30 000 1,4 % 27 614 + 8,6 % 30 000  =
6231 Annonces & insertions 30 000 1,4 % 10 471 + 186,5 % 30 000  =
60622 Carburants 30 000 1,4 % 30 750 - 2,4 % 30 000 =
6251 Voyages et déplacements 30 000 1,4 % 24 783 + 21,1 % 20 000 + 50 %
60631 Fournitures d'entretien 28 500 1,3 % 25 053 + 13,8 % 30 000 - 5 %
6065 Livres, disques, cassettes... 25 000 1,1 % 21 485 + 16,4 % 23 000 + 8,7 % 
6156 Maintenance 25 000 1,1 % 23 307 + 7,3 % 20 000 + 25 %
60636 Vêtements de travail 22 000 1 % 21 437 + 2,6 % 20 000  + 10 %
6236 Catalogues & imprimés 20 000 0,9 % 21 869 - 8,5 % 20 000  =
6247 Transports collectif du personnel 20 000 0,9 % 14 973 + 33,6 % 6 000 + 233 %
6261 Frais d'affranchissement 14 000 0,6 % 13 308 + 5,2 % 14 000
6355 Taxes et impôts sur les véhicules 13 000 0,6 % 2 400 + 441,7 %    
6228 Rémunération d'intermédiaires divers 10 000 0,5 % 3 241 + 208,5 % 10 000
617 Études et recherches 10 000 0,5 % 6 530 + 53,1 % 10 000
6257 Réceptions 10 000 0,5 % 12 382 - 19,2 % 8 000  + 25 % 
6042 Achat de prestations de service 10 000 0,5 % 9 065 + 10,3 %    
6184 Versement à des organismes de formation 8 000   3 898   8 000  =
6182 Documentation générale & technique 6 000   9 482   6 000  =
60628 Autres fournitures non stockées 2 000   1 806   1 000 + 100 %
6225 Indemnités au comptable et aux régisseurs 1 500   1 130   1 337  + 12,2 %
6188 Autres frais divers 1 500   24   1 000 + 50 % 
6041 Achat d'études     17 497      
6226 Honoraires     128      
6288 Autres frais     2      

Charges de personnel (012)

Ce chapitre n'est pas détaillé dans le document fourni au conseil. Il représente les salaires du personnel municipal et les charges salariales correspondantes (charges qui représentent environ 30 % du total), à l'exclusion des indemnités des élus (maire, adjoints et conseillers municipaux délégués), qui figurent au chapitre 65 (compte 6531).

Virement à la section d'investissement (023)

Ce compte enregistre la part du budget de fonctionnement qui n'est affectée à aucune dépense de fonctionnement, et peut donc être transférée au budget d'investissement, où il est enregistré en recette au compte 021. Il représente l'estimation de ce qu'on appelle autofinancement, c'est-à-dire la part de ses ressources que la commune peut « économiser » pour la consacrer à des investissements.
Il faut en effet savoir que la plupart des ressources de la commune, et en particulier le produit des impôts locaux, entrent dans le budget en tant que recettes de fonctionnement, car le fonctionnement est prioritaire sur les investissements (une bonne partie des dépenses de fonctionnement, à commencer par les salaires du personnel municipal, constituent pour la commune des dépenses dites « obligatoires » de par la loi, que la commune ne peut refuser d'inscrire à son budget). Ce n'est qu'une fois toutes les dépenses de fonctionnement couvertes que la commune peut consacrer le reliquat aux investissements.
La loi impose que l'autofinancement de la commune couvre au moins la part de capital des échéances d'emprunts remboursées dans l'année par la commune (la part correspondant aux intérêts est prise en charge par le budget de fonctionnement, chapitre 66, charges financières, compte 6611), car, si tel n'était pas le cas, cela voudrait dire que la commune emprunte pour rembourser l'emprunt. En effet, la part du budget d'investissement non couverte par l'autofinancement (ou par des dotations, ou des subventions affectées à des projets spécifiques) doit être financée par l'emprunt.

En pratique, ce virement n'est jamais fait pendant l'année, puisque, tant que l'année n'est pas terminée il est impossible de savoir quel sera l'excédent réel des recettes de fonctionnement sur les dépenses de fonctionnement. Le budget représente en effet des prévisions qui peuvent ne pas se réaliser : les dépenses, en particulier les dépenses obligatoires, peuvent se révéler plus élevées que prévu, les recettes peuvent être inférieures aux prévisions, ou le contraire, si bien qu'au final, lorsqu'on arrête les comptes de la commune pour une année (arrêté des comptes qui se traduit dans le compte administratif présenté au vote du conseil municipal, généralement vers le mois de juin de l'année suivante), on peut se trouver avec un excédent supérieur à ce qui était prévu, ou inférieur, voire même avec un déficit de fonctionnement qui interdit tout autofinancement.
Dans ces conditions, la section d'investissements du compte administratif, dans lequel l'autofinancement n'a pas été pris en compte, fera apparaître un déficit qui sera reporté en dépense dans la section d'investissement du budget de l'année suivante, compte 001. C'est en votant le compte administratif de l'année écoulée que le conseil municipal, si la section de fonctionnement est excédentaire, décide d'affecter tout ou partie de cet excédent à la section d'investissement de l'année suivante (compte 1068, « excédent de fonctionnement capitalisé », en recettes d'investissement) pour combler tout ou partie du déficit reporté de l'année écoulée, réalisant ainsi l'autofinancement effectif. Une partie de cet excédent de fonctionnement peut aussi être affectée en recette à la section de fonctionnement de l'année suivante, au compte, 002, « excédent ordinaire reporté ».

Autres charges de gestion courante (65)

Compte Libellé BP 2005 % du
total
CA 2004 variation
en %
BP
2004
variation
en %
65 Autres charges de gestion courante 590 000 (7,6 %) 456 411 + 29,3 % 555 000 +6,3 %
65748 Subventions de fonctionnement à des
organismes privés (associations)
182 000 30,8 % 160 698 + 13,3 % 170 000 +7,1 %
6531 Indemnités des élus 110 000 18,6 % 99 228 + 10,9 % 110 000 =
65756 Fonds de concours aux CCAS
ou caisse des écoles
100 000 16,9 % 86 192 + 16 % 95 000 +5,3 %
65737 Subventions de fonctionnement à des
établissements public locaux
100 000 16,9 % 86 296 + 15,9 % 90 000 + 11,1 %
658 Charges diverses de la gestion courante 50 000 8,5 % 6 890   42 000 + 19 %
6554 Contingents et participation
à des organismes de regroupement
40 000 6,8 % 11 014   40 000 =
6533 Cotisations de retraite des élus 8 000 1,4 % 5 954   8 000 =
6532 Frais de mission des élus     100      
65372 Cotisation FAEFM     48      

Charges financières (66)

Dans le budget de la commune de VENDARGUES, ce chapitre n'enregistre que les intérêts des emprunts souscrits par la commune, c'est-à-dire la part des échéances de remboursement de prêts de l'année 2005 qui correspondent à des intérêts et non à du remboursement de capital. En effet, dans les règles de la comptabilité publique, les intérêts sont des dépenses de fonctionnement et le remboursement de capital des dépenses d'investissement.

Charges exceptionnelles (67)

Cpte Libellé BP 2005 BP 2004
67 Charges exceptionnelles 306 000 518 00
6712 Amendes fiscales et pénales 1 000 1 000
6718 Autres charges exceptionnelles sur opérations de gestion 5 000  
673 Titres annulés sur exercices antérieurs   1 000
675 Valeurs comptables d'immobilisations financières cédées 300 000 486 000
676 Différences sur réalisations (positives) transférées en investissements   30 000

Ce chapitre enregistre des opérations par nature exceptionnelles, c'est-à-dire qui n'ont pas un caractère répétitif d'une année à l'autre, même s'il est possible de les classer sous des intitulés génériques. La comparaison d'une année sur l'autre n'a donc ici pas de signification.

Le poste 675 est destiné à recevoir des écritures liées à la revente de biens communaux : lors de l'achat d'un immeuble ou d'un terrain, le compte d'immobilisations corporelles de la commune (compte 21) est débité du prix d'achat de ce bien, et il convient d'annuler cette écriture lors de la revente. Lors d'une cession par vente, ceci se fait en partie par réintégration d'amortissements à partir du compte 28 (si le bien cédé avait donné lieu à des amortissements), et en partie par débit du compte 675, « valeurs comptable d'immobilisations cédées », de la valeur comptable nette du bien cédé, c'est-à-dire de sa valeur d'achat moins les amortissements (la somme de cette valeur et des amortissements reconstituant donc bien la valeur d'achat du bien). Dans le cas où le prix de vente est différent de la valeur nette comptable (prix d'achat moins amortissements éventuels), la différence positive ou négative s'imputerait sur le compte d'investissement 19, « différences sur réalisations d'immobilisations », au crédit si la différence est positive (profit pour la commune), au débit si elle est négative (perte pour la commune), respectivement par débit du compte 676, « différences sur réalisations (positives) transférées en investissements » (cas d'un profit pour la commune) ou par crédit du compte 776, « différences sur réalisations (négatives) transférées en investissements » (cas d'une perte pour la commune), dans la section de fonctionnement. Au final, l'opération est donc transparente pour la section de fonctionnement et c'est la section d'investissement qui enregistre le prix de vente.

Dotation aux amortissements et provisions (68)

Compte Libellé BP 2005 % du
total
CA 2004 variation
en %
BP 2004 variation
en %
68 Dotation aux amortissements
et provisions
140 000 (1,8 %)     170 000  
6875 Dotation aux provisions
pour risques
et charges d'exploitation
140 000       100 000  
6811 Dotation aux amortissements
d'immobilisations incorporelles
et corporelles
    62 058   70 000  

Les amortissements sont des sommes mises de côté, selon des règles définies d'avance, pour pouvoir faire face à l'usure des biens achetés dans le cadre des investissements (qu'on appelle, en termes comptables, des « immobilisations », et qui peuvent être « corporelles », comme par exemple un véhicule automobile ou un ordinateur, ou « incorporelles », comme par exemple des études de voirie) et anticiper leur remplacement futur. Sur un nombre d'années qui dépend de la nature des biens (c'est-à-dire de leur durée de vie moyenne) et selon une formule déterminée (par exemple, un cinquième du prix d'achat chaque année pendant cinq ans, pour un bien dont la durée de vie estimée est de cinq ans), on met chaque année en réserve une somme qui dépend du prix d'achat du bien.
Les sommes mises en réserve les années précédentes n'apparaissent pas au budget, mais seulement celles qui le sont pour l'année en cours (les « dotations »).

Excédent ordinaire reporté (002)

Ce compte enregistre la part de l'excédent des recettes de fonctionnement sur les dépenses de fonctionnement de l'année 2004 que le conseil municipal a décidé, lors du vote de l'affectation des résultats du compte administratif 2004 (voir procès-verbal du conseil municipal du 12 mai 2005, affaire 21), de reporter au budget de fonctionnement de l'année 2005 plutôt que de la transférer à la section d'investissement sous forme d'autofinancement pour l'année 2004 (pour plus de précisions sur ces mécanismes, voir plus haut la section sur le compte 023, « virement à la section d'investissement »).

Remboursements sur rémunérations SS et CNP (64)

Le compte 64 enregistre les charges de personnel (rémunérations et charges sociales), qu'on retrouve pour la plupart en dépenses de fonctionnement, au chapitre 012. Ce poste de recettes, compte 6419, enregistre des remboursements de trop perçu de charges de divers organismes sociaux.

Intérêts courus non échus (ICNE) (66)

Lorsque la mairie rembourse une échéance d'emprunt, une partie de la somme versée rembourse du capital et une partie des intérêts. En comptabilité publique, les intérêts sont imputés au fonctionnement et le capital aux investissements. Mais les intérêts payée sur une échéance donnée portent sur le capital restant dû du prêt depuis la dernière échéance. La première échéance d'un crédit donné payée une année donnée inclut des intérêts calculés depuis le paiement de l'échéance précédente, payée l'année précédente. il ya donc dans ces intérêts une partie portant sur l'année précédente et une partie portant sur l'année en cours. Ainsi par exemple, si l'on suppose un prêt remboursable par annuités (un paiement d'échéance par an, ce qui est souvent le cas dans les prêts aux collectivités locales) au 1er avril de chaque année, dans l'échéance payée le 1er avril 2005, on trouvera la part d'intérêts relative à la période allant du 2 avril 2004 au 31 décembre 2004 (INT1) et la part d'intérêts relative à la période allant du 1er janvier 2005 au 1er avril 2005 (INT2). INT1 ne sera payé qu'en 2005, mais, en rigueur de termes, appartient au budget de 2004. Pour tenir compte de ce phénomène, la comptabilité publique impose de calculer au 31 décembre 2004 la part d'intérêts dus jusqu'au 31 décembre 2004 et non encore payée (qui le seront en 2005) sur tous les emprunts en cours et de l'imputer en dépense au budget de fonctionnement de 2004, compte 6611, « intérêts des emprunts ». C'est cette part d'intérêts non payés, mais qui sont bel et bien dus au 31 décembre 2004 qu'on appelle « intérêts courus non échus » (ICNE). Cependant, comme ces intérêts ne sont pas payés à la banque, la dépense correspondante doit être équilibrée en comptabilité par un crédit sur un compte de réserve. Ce compte est le compte 1688 de la section d'investissements, qui est crédité au 31 décembre 2004 des ICNE de 2004 et débité au 1er janvier 2005 du même montant pour créditer en section de fonctionnement de 2005 le compte 6611, au débit duquel seront imputés les intérêts payés au titre des échéances 2005. C'est ce recrédit des ICNE de 2004 qui apparaît ici en recette de fonctionnement.

Ventes de produits et services (70)

Compte Libellé BP 2005 % du
total
CA 2004 variation
en %
BP 2004 variation
en %
70 Ventes de produits et services 200 000 (2,6 %) 223 178 - 10,4 % 179 000 + 11,7 % 
7066 Colonies, crèches et garderies 90 000 45 % 91 370 - 1,2 % 85 000  + 5,9 %
7067 Cantines, études surveillées 90 000 45 % 99 081 - 9,2 % 80 000 + 12,5 % 
70323 Redevances d'occupation du domaine public 10 000 5 % 9 659 + 3,5 % 10 000  =
7062 Redevances sur services à caractère culturel 8 000
4 %
9 898
- 19,2 %
   
70311 Concessions 2 000
1 %
1 780
+ 12,4 %
4 000 - 50 % 
7015 Vente de terrains aménagés     11 247
   
7036 Taxe de pâturage et de tourbage     72
   
70611 Redevance d'enlèvement des ordures     66
   

Impôts et taxes (73)

Compte Libellé BP 2005 % du
total
CA 2004 variation
en %
BP 2004 variation
en %
73 Impôts et taxes 2 720 000 (35,2 %) 2 474 607 + 9,9 % 2 508 035 + 8,4 %
7311
Contributions directes
2 525 000 92,8 % 2 279 408
+ 10,8 %
2 307 035 + 9,4 %
7381
Taxe additionnelle aux droits de mutation
130 000 4,8 % 125 053
+ 4 %
140 000 - 7,2 %
7351
Taxe sur l'éléctricité
60 000 2,2 % 58 498
+ 2,6 %
55 000 + 9,1 % 
7343
Taxes sur les pylônes
4 000   4 113
- 2,7 %
4 000  
73681
Taxe sur la publicité : emplacements publicitaires
1 000   1 991
- 49,8 %
2 000  - 50 %
7331 Taxe d'enlèvement des ordures ménagères     3 479
   
7336 Droits de place     1 225
   
7388 Autres taxes diverses     544
   
7363 Impôts sur les spectacles     296
   

Les contributions directes (compte 7311), qui représentent la plus grosse partie de ce compte, incluent la taxe d'habitation, la taxe foncière sur le foncier bâti et la taxe foncière sur le foncier non bâti.
L'augmentation du produit de ces taxes par rapport à 2004 résulte de la combinaison :
-  des 5,2 % d'augmentation votés par le conseil municipal,
-  de l'augmentation de 1,8 % des valeurs locatives servant de base à ces taxe, votée par le parlement pour toute la France dans la loi de finance 2005 pour tenir compte de l'inflation (cf. art. 1518 bis du Code général des impôts),
- de l'accroissement de la population de VENDARGUES qui fait que plus de personnes payent l'impôt.
La dotation de compensation versée par l'agglomération de MONTPELLIER pour compenser la perte de taxe professionnelle ne figure pas ici, mais dans le compte 74, « dotations, subventions, participations », sous-compte 7488. Elle est inchangée entre 2004 et 2005 puisqu'il n'y a pas eu de nouveaux transferts de compétences de la commune vers l'agglomération en 2004.

Dotations, subventions, participations (74)

Compte Libellé BP 2005 % du
total
CA 2004 variation
en %
BP 2004 variation
en %
74
Dotations, subventions, participations
3 430 000 (44,4 %) 3 628 449 - 5,5 % 3 421 000 + 0,3 % 
7488
Autres attributions et participations
2 650 000 72,3 % 2 556 290 + 3,7 % 2 650 000
7411
Dotation globale de fonctionnement (DGF)
380 000 11,1 % 374 320 + 1,5 % 430 000 - 11,6 % 
7478
Subventions et participations autres organismes
240 000 7 % 359 713 - 33,3 % 200 000 + 20 % 
74834
Compensation des exonérations de la taxe foncière (État)
80 000 2,3 % 81 822 - 2,2 % 16 000 + 400 %
74833
Compensation de la taxe profressionnelle (État)
35 000 1 % 34 425 + 1,7 % 35 000
74711
Dotation emplois-jeunes
30 000   57 814 - 48,1 % 25 000 + 20 % 
74121
Dotation de solidarité rurale, 1ère fraction
20 000   22 394 - 10,7 %    
74718 Autres participations     80 436      
74123 Dotation de solidarité urbaine     38 312      
746 Dotation générale de décentralisation     22 922      
74835
Compensation des exonérations de la taxe d'habitation (État)
        65 000  

Trois postes représentent plus de 90 % de ce compte :

Autres produits de gestion courante (75)

Ce compte regroupe deux sous-comptes :

Produits exceptionnels (77)

Ce compte est detiné à enregistrer des opérations de vente de biens de la commune. Pour plus de précisions sur la comptabilisation de ces opérations, voir ci-dessus la section sur les charges exceptionnelles.

 


Budget d'investissement : détail

Les règles de la comptabilité publique obligent à introduire dans la section d'investissement un certain nombre d'écritures plus ou moins « fictives » traduisant des opérations de comptabilité internes, comme par exemple les reports de déficit d'une année sur l'autre pour pouvoir matérialiser l'autofinancement après la clôture des comptes d'une année (sur ce point, voir plus haut le paragraphe sur le virement à la section d'investissement dans les dépenses de fonctionnement), ou encore les amortissements ou les reports d'ICNE d'une année sur l'autre, qui rendent difficile de savoir à combien se montent les « vrais » investissements, ceux qui importent aux Vendarguois. L'analyse détaillée des postes comptables de cette section ne permet pas de trouver cette information, car les investissements y sont globalisés sous le vocable d'« immobilisations » dans trois chapitres distincts, selon qu'il s'agit d'immobilisations corporelles (terrains, immeubles, matériels divers, etc., chapitre 21), d'immobilisations incorporelles (frais d'études en vue des travaux, principalement, chapitre 20) ou d'immobilisations en cours (travaux d'investissement proprement dits, par opposition par exemple à des achats de biens, chapitre 23), sans qu'on puisse savoir à quels projets chaque compte se rapporte. Il faut, pour trouver ce détail, se reporter à l'analyse par fonction (services généraux, scolaire, sports, voirie, etc., selon une nomenclature définie par la réglementation), et dans les fonctions, par opération. Lors du vote du budget 2005, les dépenses d'investissement ont été présentées de manière plus analytique permettant de savoir plus précisément quels investissements spécifiques étaient prévus, sans pourtant s'encombrer du classement par fonction. Ce tableau est reproduit ci-dessous.
On trouvera aussi après ces tableaux une analyse plus détaillée de certaines des recettes d'investissement.

Investissements rééls 2005

Le tableau ci-dessous reproduit les chapitres 20, 21, 23 et 26 de la partie « Dépenses » du document « Investissements budget primitif 2005 » qui a été distribué aux conseillers municipaux lors du vote du budget 2005. Il donne le détail des dépenses d'investissement réelles prévues en 2005. On y a ajouté, dans les lignes de total par chapitre, les reports des restes à réaliser de 2004 (investissements commencés ou engagés en 2004 qui ne seront facturés qu'en 2005) tels qu'ils ressortent du vote du compte administratif 2004. Le détail de ces restes à réaliser n'a pas été fourni au conseil municipal lors du vote du compte administratif et du budget supplémentaire le 12 mai 2005.

Objet 1 - Restes à réaliser 2004 2 - Propositions nouvelles 2005 (BP) Total 2005 (1+2)
Chapitre 20 : Études et autres immobilisations incorporelles
Les Asphodèles : cantine et garderie - Frais d'études   92 000  
Crèche halte garderie - Logiciel PSU   2 000  
Espace Fuxa : extension activités point info jeunes - Frais d'études   24 000  
Mairie - Logiciel de paie DDAS   1 200  
Police municipale - Logiciel Passeports suivi courrier   2 200  
Presbytère : réhabilitation du bâtiment - Frais d'études   20 000  
Salle des fêtes - Frais d'études (voir note)   50 000  
SOUS-TOTAL CHAPITRE 20 :
154 000 191 400 345 400
Chapitre 21 : Achats de biens matériels et autres immobilisations corporelles
Acquisition de terrains divers en zone naturelle   65 000  
Les Asphodèles - Commande de mobilier   1 700  
La Cadoule - Acquisition de terrains sur les berges   15 000  
Comité feux de forêt - Matériel de débroussaillage   2 500  
Communication - Achat d'un appareil numérique   2 000  
Communication - Achat d'un massicot   2 000  
Complex sportif - Structures roller   16 000  
Culture - Écran géant pour la salle Armingué I   5 500  
École « Les Garigues » - Acquisition monobrosse   1 700  
Secours inondations - Lits pliants   1 000  
Local stade - Acquisition de mobilier de bureaux   2 000  
Mairie - Acquisition d'isoloirs et d'urnes pour le 3ème bureau de vote   2 500  
Mairie - Renouvellement de postes informatiques   10 000  
Police municipale - Acquisition de gilets pare-balles   1 000  
Protocole - Matériels divers (gradins, tables…)   18 900  
Salle des fêtes - Acquisition de terrain (voir note)   30 000  
Services techniques - Acquisition d'une remorque   1 100  
Services techniques - Acquisition de divers matériels   25 000  
Sports - Acquisition de matériels divers   3 200  
SOUS-TOTAL CHAPITRE 21 :
20 000 206 100 226 100
Chapitre 23 : Travaux et autres immobilisations en cours
Activités économiques - Barrière automatisée   16 000  
Espace Armingué - Travaux de bâtiment   3 200  
Les Asphodèles - Travaux cantine et garderie   408 000  
Bâtiment « Croix rouge » - Travaux   2 000  
Bâtiments communaux - Travaux d'entretien hors programme   10 000  
Bâtiments communaux - Travaux de mise en conformité électrique   15 000  
Bibliothèque - Travaux de bâtiment   2 400  
Cantine - Travaux de bâtiment   1 000  
Cimetière - Servitude passage Prudent   2 000  
Cimetière - Travaux d'extension   100 000  
Circulations douces - 1ère tranche de travaux   30 000  
CLSH « Les Flibustiers » - Modification des volets roulants et peinture   12 000  
Complexe sportif - Dispositifs anti-intrusions sur 4 locaux   10 000  
Complexe sportif - Local technique finitions club house   27 000  
Complexe sportif - Réparation du groupe d'arrosage du stade   4 000  
Éclairage public - Hors programme   46 000  
Église - Travaux d'entretien   1 600  
Entretien vallée du Salaison (garrigues, fossés…)   5 000  
Espace Fuxa - Auvent porte d'entrée du point info jeunes   5 000  
Espace Fuxa - Travaux d'extension activités point info jeunes   174 000  
Espace Teissier - Rénovation   3 200  
Espaces verts - Créations   15 000  
Jeux square Marcellin Albert   5 000  
Mairie - Aménagement des bureaux de la comptabilité   3 700  
Mairie - Climatisation + stores bureau du maire   3 100  
Mairie - Modification de la climatisation du rez-de-chaussée   3 000  
Mairie - Réfection de la salle du conseil   1 700  
Presbytère - Travaux de réhabilitation du 1er étage   55 000  
Protocole - Rénovation du podium et fabrication d'un comptoir   4 800  
La Ribambelle - Travaux « Concept alu » + sols souples   11 000  
La Ribambelle - Vieux jeux, estrade arbre   14 000  
Services terchniques - Travaux bureau du 1er étage   7 800  
Sports - Aménagements divers (parcours, modélisme…)   5 000  
Travaux chemin de Bannières + honoraires   460 000  
Voirie hors programme - Poteaux incendie   10 000  
Voirie hors programme - Travaux divers   23 000  
Voirie 2005 - Programme de voirie urbaine   163 000  
SOUS-TOTAL CHAPITRE 23 :
336 000 1 662 500 1 998 500
Chapitre 26 : Participations
OPAH : opération « façades » (subventions aux Vendarguois)   5 000  
SOUS-TOTAL CHAPITRE 26 :
  5 000  
Programme 2004/01  : ZAC Pompidou
Chapitre 20 : Études et autres immobilisations incorporelles
Frais d'étude   20 000  
SOUS-TOTAL PROGRAMME 2004/01  :
10 000 20 000 30 000
Programme 2004/02  : Travaux hydrauliques pour la prévention des inondations
Chapitre 20 : Études et autres immobilisations incorporelles
Frais d'étude du bassin de rétention du Teyron   70 000  
Chapitre 21 : Achats de biens matériels et autres immobilisations corporelles
Acquisition de terrains   360 000  
Chapitre 23 : Travaux et autres immobilisations en cours
Marché de travaux du bassin de rétention du Bourbouisse nord   160 000  
Marché de travaux du bassin de rétention du Teyron   1 320 000  
SOUS-TOTAL PROGRAMME 2004/02 :
690 000 1 910 000 2 600 000
TOTAL GÉNÉRAL
  3 995 000 5 200 000

Le tableau suivant présente les investissements prévus au budget 2005 en ordre décroissant d'importance. Les multiples lignes du précédent tableau portant sur le même équipement (ex.: Les Asphodèles), projet (ex.: les travaux hydrauliques) ou domaine d'activité (ex.: le protocole) ont été regroupées en une seule ligne dans ce tableau. On pourra y constater que 5 projets consomment à eux seuls plus de 80 % de ce budget.

Objet BP 2005
LIGNE EN %
du TOTAL
CUMUL
CUMUL EN %
du TOTAL
Travaux hydrauliques de protection contre les inondations 1 910 000
47,9 %
1 910 000
47,9 %
Les Asphodèles : cantine et garderie - Frais d'études et travaux 500 000
12,5 %
2 410 000
60,3 %
Travaux chemin de Bannières + honoraires 460 000
11,5 %
2 870 000
71,8 %
Espace Fuxa : Frais d'études et travaux divers 203 000
5,1 %
3 073 000
76,9 %
Voirie - Programme 2005 et hors programme 196 000
4,9 %
3 269 000
81,8 %
Cimetière - Travaux d'extension 102 000
2,6 %
3 371 000
84,4 %
Salle des fêtes - Frais d'études et acquisition de terrains (voir note) 80 000
2 %
3 451 000
86,4 %
Acquisition de terrains divers en zone naturelle 80 000
2 %
3 531 000
88,4 %
Presbytère - Études et travaux de réhabilitation du 1er étage 75 000
1,9 %
3 606 000
90,3 %
Complexe sportif - Achats de matériels et travaux divers 59 000
1,5 %
3 665 000
91,7 %
Éclairage public - Hors programme 46 000
1,2 %
3 711 000
92,9 %
Services techniques - Travaux d'aménagement et acquisition de matériels divers 33 900   3 744 900
93,7 %
Circulations douces - 1ère tranche de travaux 30 000   3 774 900
94,5 %
Bâtiments communaux divers (associations, bibliothèque…) - Travaux divers 29 400   3 804 300
95,2 %
La Ribambelle - Travaux divers 25 000
3 829 300
Protocole - Achats de matériels et travaux divers 23 700
3 853 000
Mairie - Aménagements divers et achat de matériels informatiques 21 500
3 874 500
ZAC Pompidou - Frais d'étude 20 000
3 894 500
Activités économiques - Barrière automatisée 16 000
3 910 500
Espaces verts - Créations 15 000
3 925 500
CLSH « Les Flibustiers » - Modification des volets roulants et peinture 12 000
3 937 500
Sports - Aménagements divers (parcours, modélisme…) et acquisition de matériel 8 200
3 945 700
Culture - Écran géant pour la salle Armingué I 5 500
3 951 200
Entretien vallée du Salaison (garrigues, fossés…) 5 000
3 956 200
Jeux square Marcellin Albert 5 000
3 961 200
OPAH : opération « façades » (subventions aux Vendarguois) 5 000
3 966 200
Communication - Achat de matériels divers (appareil numérique, massicot) 4 000
3 970 200
Espace Armingué - Travaux de bâtiment 3 200
3 973 400
Espace Teissier - Rénovation 3 200
3 976 600
Comité feux de forêt - Matériel de débroussaillage 2 500
3 979 100
Mairie - Acquisition d'isoloirs et d'urnes pour le 3ème bureau de vote 2 500
3 981 600
Police municipale - Logiciel Passeports suivi courrier 2 200
3 983 800
Crèche halte garderie - Logiciel PSU 2 000
3 985 800
Les Asphodèles - Commande de mobilier 1 700
3 987 500
École « Les Garigues » - Acquisition monobrosse 1 700
3 989 200
Église - Travaux d'entretien 1 600
3 990 800
Mairie - Logiciel de paie DDAS 1 200
3 992 000
Secours inondations - Lits pliants 1 000
3 993 000
Police municipale - Acquisition de gilets pare-balles 1 000
3 994 000
Cantine - Travaux de bâtiment 1 000
3 995 000
TOTAL GÉNÉRAL
3 995 000
 

Note : lors du vote du budget, le maire a annoncé, pour expliquer ces lignes budgétaires sur la « salle des fêtes » (études et achat de terrain), qu'il abandonnait le projet d'aménagement du Bacchus, loué depuis 2 ans par la commune, pour s'orienter vers l'achat d'un terrain voisin de l'emplacement du Bacchus, appartenant à la société BONNA, et y construire de toutes pièces la nouvelle salle des fêtes. Voir dans la section « Actualités », nos commentaires sur cette opération qui aura coûté à la commune 200.000 € (1.300.000 F) sans contreparties.

Emprunts et dettes assimilées (16)

On retrouve dans ce compte :

Dotations et fonds divers et réserves (10),
subventions d'investissement (13)

Cpte Libellé BP 2005 REPORT
2004
TOTAL 2005 CA
2004
10
Dotations et fonds divers et réserves
1 289 660   1 289 660 1 077 972
1068
Excédent de fonctionnement capitalisé
1 129 660   1 129 660 544 098
10222
Fond de compensation de la TVA (FCTVA)
160 000   160 000 418 332
10223
Taxe locale d'équipement non ventilée
    115 542
13
Subventions d'investissement
560 000 302 185 862 185 3 463
1328 Participation exceptionnelle Système U 460 000   460 000  
1315
Subventions d'équipement transférables de groupements de collectivités
122 000 122 000  
1325 Subventions d'équipement non transférables de groupements de collectivités 100 000   100 000  
1326
Subventions d'équipement de l'Agglo.
  94 000 94 000  
1322
Subventions d'équipement de la Région
47 000 47 000  
1323
Subventions d'équipement du Département
39 185 39 185 3 463

Sur la plupart de ces comptes, les variations en pourcentage d'une année sur l'autre ne sont pas significatives. Les valeurs du compte administratif 2004 sont fournies ici à titre d'information.

Le compte 1068 correspond à la part de l'excédent de fonctionnement affectée à la section d'investissement, c'est-à-dire à l'autofinancement réel pour 2004 (sur les mécanismes de l'autofinancement, voir plus haut la section sur le virement à la section d'investissement).

Le fond de compensation de la TVA (FCTVA) correspond à un remboursement partiel de la TVA aux communes par l'État sur certains investissements. Ce remboursement n'intervient qu'un ou deux ans plus tard que les paiements qu'il concerne. Son montant dépend donc du montant des investissements éligibles effectivement facturés dans l'année de référence (l'année n-2, en principe).


Le site de Bernard SUZANNE, ancien conseiller municipal de VENDARGUES (Hérault)
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Dernière mise à jour le 15 mai 2005